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fois déjà, depuis vingt ans, on nous a sommés de
choisir
entre le Mal et le Bien incarnés. « Au nom du Christ ; nous disait-on
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ce qu’il est libre, c’est-à-dire parce qu’il peut
choisir
de créer selon l’ordre divin, ou au contraire selon ses propres utopi
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une licence absolue. Or, l’absence de contraintes
choisies
rend la sexualité insignifiante, et déprime secrètement l’humanité de
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ntretenait dans son sein cette même passion. Elle
choisit
la santé : elle veut se fédérer. Et bien sûr, tout n’est pas encore g
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ur une meilleure hygiène. Pourquoi est-ce qu’on a
choisi
l’espace, concrétisé par la Lune, dans le cas qui nous occupe ? Je pe
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fois de l’histoire, l’homme se voit contraint de
choisir
librement son avenir. Ce n’est donc pas dans une visée prométhéenne q