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mplaisances tortueuses et sur notre impuissance à
choisir
vaillamment entre la Norme du Jour et la Passion de la Nuit ; dresser
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rait à démontrer que les auteurs du Roman avaient
choisi
en toute conscience pour la chevalerie « courtoise » contre le droit
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se à l’« entière possession de sa dame ». Tristan
choisira
donc, dans ce cas, d’observer la fidélité féodale, masque et complice
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complice énigmatique de la fidélité courtoise. Il
choisit
en toute liberté, car nous avons marqué plus haut qu’étant plus fort
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e à croire que librement ils ne se fussent jamais
choisis
. Mais ils ont bu le philtre, et voici la passion. Une tendresse va-t-
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le « demeine par force ». Et cependant, qu’il ait
choisi
cette destinée, qu’il l’ait voulue et accueillie par un obscur et sou
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à tour, en vertu d’un calcul secret ; car si l’on
choisissait
l’une d’elles à l’exclusion totale de l’autre, la situation se dénoue
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ié quand il errera dans la voie célestielle. Il a
choisi
la voie terrienne, il a trahi l’Amour mystique, il n’est pas « pur ».
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qui eussent pu intervenir dans ce chapitre, j’ai
choisi
de préférence celles qu’a traduites C.-A. Cingria (en vers), pour la
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par quelques exemples mis en note, et à vrai dire
choisis
presque au hasard.) Voici le Sonnet du premier anniversaire de l’amou
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ques allemands sans exception147. Quelques textes
choisis
entre mille en diront plus que tous les commentaires ici possibles, e
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oresques. ⁂ Cependant la forme d’art que Wagner a
choisie
n’est pas sans recréer des possibilités de « méprise ». Il fallait qu
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ce mode d’expression et des sujets qu’ils surent
choisir
. La musique seule peut bien parler de la tragédie, dont elle est la m
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poser un mythe ; ne trouvait plus des résistances
choisies
au sein d’une atmosphère d’orageuse et secrète dévotion. La crainte m
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cisive d’un être en soi, limité et réel, que l’on
choisit
non comme prétexte à s’exalter, ou comme « objet de contemplation »,
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Car l’homme de la passion est justement celui qui
choisit
d’être dans son tort, aux yeux du monde, — et dans ce tort majeur, ir
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ils déclarent au nom de leur vocation qu’il faut
choisir
de faire des livres ou des enfants : aut liberi aut libri disait Niet
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toute la vie, l’on en vient à cette conclusion :
choisir
une femme, c’est parier. Or la sagesse populaire et bourgeoise recom
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ture évolution, et encore moins celle de l’épouse
choisie
, encore bien moins celle du couple formé. Les facteurs mis en jeu son
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: irrationnel ne signifie nullement sentimental.
Choisir
une femme pour en faire son épouse, ce n’est pas dire à Mlle Untel :
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uisse me combler : à peine comblé je changerais !
Choisir
une femme pour en faire son épouse, c’est dire à Mlle Untel : « Je ve
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» Car cela signifie en vérité : c’est vous que je
choisis
pour partager ma vie, et voilà la seule preuve que je vous aime. (Vra
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nne — et non du tout qu’il est un débauché. Ayant
choisi
le symbolisme amoureux, il joue le jeu le plus naturel, selon la cout
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ercer la cruauté sur soi ou sur le prochain. Sade
choisit
le prochain : il veut être criminel plutôt que victime. Ainsi la cons