1 tion vraie. Le point de vue ne pouvait être mieux choisi , les perspectives dans l’espace et le temps mieux ouvertes à leur jus

2 verner le pays. Or, ces baillis sont presque tous choisis dans la classe des ministériaux, fonctionnaires du dynaste et qui ne

3 n de la Confédération. Vient un moment où il faut choisir . L’égalité des inégaux agit alors, en fin de compte, dans un sens uni

4 s à la succession se présentent. Les Neuchâtelois choisissent celui qui leur paraît le moins dangereux pour leur indépendance, le p

5 il d’État formait l’exécutif. Ses membres étaient choisis dans une vingtaine de familles presque toutes « reconnues » ou anobli

6 e à celui des doges à Venise. (Il ne pouvait être choisi que dans la classe des « familles aptes à régner ».) Le président de

7 il serait né, mais par un parti politique qu’il a choisi selon sa conviction (parfois aussi en vue de son élection). La majest

8 dentiel et les fréquents changements de ministres choisis ou renvoyés par le chef de l’État. Il en résulte une stabilité gouver

9 nt allemand. La Constitution fédérale interdit de choisir plus d’un membre du Conseil dans le même canton, et la coutume veut q

10 té que les femmes, un dimanche sur six, devraient choisir entre les urnes et les casseroles. Pour que des arguments de ce genre

11 olitique, tous les auteurs suisses sont d’accord. Choisissons pour les représenter : un homme d’État, un général et un poète romanc

12 aine d’années, et si les Suisses devaient un jour choisir entre le maintien de leur prospérité et celui de leur indépendance po

13 l’époque. Henri-Frédéric Amiel n’eut même pas à choisir un pseudonyme. Quelques recueils de poésies médiocres, un chant patri

14 totalitaires. On ne saurait être plus libre de se choisir , j’entends de se faire homme à sa manière, et non point à celle de l’

15 nche quelconque d’un million et demi d’habitants, choisie dans l’une des grandes nations voisines. Et ce n’est pas un éloge de

16 t, il satisfait trop facilement, dit-on, ceux qui choisissent de s’installer dans les petites. Mais la plupart des hommes veulent,

17 x à l’aide d’une hypothétique langue suisse, mais choisiraient de s’exprimer en français quand ils écrivent un texte à publier. Pers

18 . Ramuz refuse la Suisse fédérale, officielle, et choisit de n’être que vaudois ou rhodanien. Sollicité de s’exprimer sur ce pa

19 re et un foyer de rayonnement. Les Russes qui ont choisi d’habiter cette ville n’y ont pas écrit de la musique ni des romans,

20 ù ces limites disparaissent. Dès ma jeunesse j’ai choisi ma route et je ne m’en suis plus écarté ; et s’il y a, comme vous dit

21 savoir quelles formes d’union les Européens vont choisir . Trois formules leur sont proposées, et sont en principe concevables.

22 n quartier général. C’est en Suisse que Churchill choisit de parler de l’Europe, et que la même année, 1946, les premières Renc

23 avant que les jeux européens soient faits —, elle choisira de se réserver. 2. Ce dernier terme évoque irrésistiblement l’idée de

24 t pas retenue, au bout du compte, plutôt que d’en choisir une autre, va pour la Suisse ! » On passe au vote : la Suisse sort bo

25 Préface 1970 J’ai choisi le sous-titre de ce livre pour m’amuser à faire mentir un proverbe fa

26 pour « artificielle » toute communauté librement choisie par des peuples, et non pas imposée par des Rois, par la Force des Ch