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propagande des conformismes officiels, nous avons
choisi
d’opposer les chefs-d’œuvre de l’art et de la pensée libre : ils parl
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e la nécessité vitale pour l’humanité actuelle de
choisir
son avenir, c’est-à-dire de choisir les priorités et les buts de la v
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é actuelle de choisir son avenir, c’est-à-dire de
choisir
les priorités et les buts de la vie sociale et personnelle. Or choisi
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et les buts de la vie sociale et personnelle. Or
choisir
est l’acte politique par excellence : gouverner, c’est prévoir — prév
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(en deçà de ces frontières), vous les amènerez à
choisir
l’Europe qu’ils souhaitent. Ce sera vraiment là « faire l’Europe », c
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ans le concret de la vie civique, la nécessité de
choisir
, en cas de conflit, entre niveau et mode de vie. Choix qui se ramène
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de ce-qui-se-passe ou non par le monde, la presse
choisit
pendant la nuit un très petit nombre de thèmes, les manipule, les dra
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ef, le metteur en pages d’un journal et celui qui
choisit
les nouvelles à passer, les « corps », les emplacements, les photos e
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ions qu’elle suppose, et par le fait qu’on ne l’a
choisie
qu’en vue de la vente. Mais qui peut actuellement, et qui pourrait de
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a Mirandole, aujourd’hui, se verrait contraint de
choisir
entre une carrière de brillant vulgarisateur scientifique et une spéc
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carnation, sinon Dieu lui-même, l’Esprit pur, qui
choisit
de se rendre connaissable dans un corps d’homme. Il en résulte que le
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l’invitation du prestigieux Cénacle libanais, de
choisir
de parler du Dialogue des cultures, car il me semble qu’un sujet de c
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ontées. Lorsque les citoyens des régions auront à
choisir
entre leurs réalités et la fiction stato-nationale. Cette démarche co