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ois dans l’histoire, l’homme se voit contraint de
choisir
librement son avenir et celui de l’espèce, et il s’y voit contraint d
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donc la responsabilité. Il se voit contraint de
choisir
, parce que ne pas choisir serait s’abandonner aux « impératifs » du d
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Il se voit contraint de choisir, parce que ne pas
choisir
serait s’abandonner aux « impératifs » du désastre dont l’Occident in
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iel est en train d’agencer les mécanismes ; et de
choisir
librement, c’est-à-dire délibérément, après mûre réflexion, en connai
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nd il ne veut plus assumer sa liberté. Si nous ne
choisissons
pas librement notre avenir, il n’y aura plus d’avenir humain au-delà
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cit des civilisations, fin de l’Histoire. Si nous
choisissons
bien, au nom de finalités qui ne seront plus uniquement matérielles,
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plus que jamais. Tout est possible, mais il faut
choisir
. « De l’agriculture au paradoxe » On peut penser que l’homme, de
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à nous, tels que le plutonium, dont le nom même —
choisi
par hasard, semble-t-il — annonce la nature infernale. Choisir not
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rd, semble-t-il — annonce la nature infernale.
Choisir
notre avenir Nous arrivons au terme de l’ère néolithique, qui a vu
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ffort civilisateur de l’Occident qui nous force à
choisir
notre avenir, et par-là nous met en demeure de formuler et de vouloir
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u sont ressenties comme telles et nous obligent à
choisir
: soit sacrifier l’un des deux termes (mais c’est rarement possible s
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égradation et la mort. Ainsi, par peur de mourir,
choisissons
-nous l’inanimé, contre la vie toujours mortelle. Il en résulte (mais
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nous nous sommes chargés de l’écrasant devoir de
choisir
notre avenir à tout risque, ou d’accepter qu’il soit, à tout calcul,
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du libre choix de l’individu : on le fusille s’il
choisit
« mal », c’est-à-dire se réfère aux idéaux que nos armées sont censée
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t censées défendre. Mais il n’aura bientôt plus à
choisir
. Car la guerre ABC, sélectivement, massacrera tout ce qui n’est pas «
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eule réponse adéquate à la crise. Ce serait aussi
choisir
notre avenir. Comment en décider sans le connaître ? nous dit la scie
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tions, empêchant toute concentration sur un point
choisi
par quelque nécessité interne, en vue d’une création, d’une participa
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r une prise de position métaphysique. Elle pourra
choisir
l’anesthésie spirituelle, ou l’aventure spirituelle. 1. L’anesthésie
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sation spirituelle et mondiale. 2. Si l’Humanité
choisit
au contraire l’aventure spirituelle, celle-ci sera sans doute initiée
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e pour une époque où l’homme se voit contraint de
choisir
ses fins et les voies vers ces fins, sous peine de sanctions désastre
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notre société, puisque nous sommes contraints de
choisir
notre avenir, mais cela n’entraîne pas que leurs méthodes actuelles s
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La prospective doit nous montrer la nécessité de
choisir
, mais non pas faire le choix pour nous. Elle devrait tendre à éduquer
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personnel. Les critères de ma prospective seront
choisis
comme idoines à mes fins97, et ne seront donc ni la rentabilité, ni l
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aille contre l’Esprit. » Je voyais qu’il fallait
choisir
: « 1. — Accepter la technique et ses conditions. Dans cette mécaniqu
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se au pas étatique, et par-là promise à sa perte.
Choisir
la nation autarcique contre l’humanité en général — l’universel — mai
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é fondée sur ses finalités, sur les buts que nous
choisirons
en tant que personnes libres et responsables, et non plus sur les seu
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ni de la Commune parisienne. Quant aux autorités
choisies
pour chaque commune ou compagnie, elles consistent en « collèges », d
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i, ici de l’État, cet Autre sans visage. Sommé de
choisir
entre la création immédiate d’emplois temporaires et le refus d’une s
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durables, il vote pour l’emploi. Et s’il lui faut
choisir
entre les centrales nucléaires ruineuses à tous égards et le risque d
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aire ou ne sera pas129. L’Intendance nous donne à
choisir
— en résumé — entre la guerre et la misère certaine. Nous suivons l’I
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de disciples, les English Prophets, dont certains
choisiront
l’Amérique pour y bâtir leurs cités idéales : ainsi, en 1774, le mouv
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une étant le respect des petites dimensions, on a
choisi
pour unité de base le quartier. Ce n’est pas un très bon substitut, p
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membres (trente-cinq par quartier) sont nommés et
choisis
dans la population par la très officielle Commission de planification
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ieusement : « Contrôler l’activité du technicien,
choisir
les actions de la collectivité entre toutes les actions possibles, c’
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e. Supposons que la région, comme tout l’y porte,
choisisse
d’utiliser par priorité ses sources locales d’énergie (charbon, eau,
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n « pacte de Faust ». Il ajoutait que s’il devait
choisir
entre sécurité, d’une part, pénurie d’énergie et chômage partiel de l
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membre, et de récupérer le passé du pays où il a
choisi
de se « naturaliser » — mot remarquable. Il devient suisse par les ra
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t sérieux de la société moderne n’est donc pas de
choisir
entre une gauche et une droite qui pratiquent la même religion, mais
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et de guerres. En revanche, si plusieurs régions
choisissent
de conserver ou de renouveler entre elles des liens particuliers, dan
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rise, ou tout au moins ses signes extérieurs, ils
choisissent
régulièrement ce qui leur est le moins congénital. À qui fera-t-on cr
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nt l’imiter, surtout pour mieux s’en libérer. Ils
choisissent
celle qui les a dominés, mais c’est choisir aussi celle qui les a per
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s choisissent celle qui les a dominés, mais c’est
choisir
aussi celle qui les a perdus ! Je leur propose l’Europe des régions,
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tion de Th. Fälldin, chef du nouveau gouvernement
choisi
par le peuple à cause de son opposition aux centrales nucléaires : «
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nous faut pousser l’analyse sur nous-mêmes : que
choisissons
-nous réellement ? Au niveau des États-nations tout est joué, tout est