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de l’auteur ou du sujet, sait-on jamais lequel a
choisi
l’autre ? Parler du diable, écrire sur lui, n’était-ce pas une manièr
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: Satan se dissimule derrière sa propre image. Il
choisit
de revêtir une apparence grotesque qui a pour effet certain de le ren
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eu de se distinguer abusivement de notre péché, a
choisi
de se confondre avec lui au point qu’on croie cette abstraction plus
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l de son existence empruntée et parasitaire, il a
choisi
pour domicile permanent « les sépulcres blanchis » que maudissait le
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leur offrait la faculté de créer, c’est-à-dire de
choisir
librement et d’orienter leur choix vers l’obéissance confiante — suiv
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ar Goering : c’était du beurre ou des canons. Ils
choisirent
les canons, plus excitants. Les maîtres de la paix paraissent bien dé
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voir un équilibre. Le diable prétendra nous faire
choisir
follement entre les deux moitiés de la réalité, entre la tête et les
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es éléments en jeu. Le diable nous dira : il faut
choisir
. Nous choisirons sans doute la folie, au sein du monde le plus ration
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jeu. Le diable nous dira : il faut choisir. Nous
choisirons
sans doute la folie, au sein du monde le plus rationnellement organis
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at lui refuse ce droit, le citoyen peut librement
choisir
entre la honte et la révolte. Sa révolte peut le conduire soit au mar
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te, mais au nom de sa vocation particulière. S’il
choisit
au contraire la honte, laissant sévir les lois contraires à l’exercic
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aux réalités. C’est en effet ce moment précis que
choisissent
normalement les fonctionnaires des douanes et du Service d’immigratio
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e décadence d’une civilisation. Auguste obligé de
choisir
entre le trône et Bérénice, renvoie la femme. Dans le même cas Windso
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ce qu’il est libre, c’est-à-dire parce qu’il peut
choisir
de créer selon l’ordre divin, ou au contraire selon ses propres utopi
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une licence absolue. Or, l’absence de contraintes
choisies
rend la sexualité insignifiante, et déprime secrètement l’humanité de
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pis rouges, et les lampes rouges, comme lorsqu’on
choisit
une couleur au jeu de cartes, rouge ou noir. J’arrive à la salle de l
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tabli, il ne peut que s’anéantir avec tout ce qui
choisit
le Néant en chacun de nous, et l’on ne voit pas comment sa salvation