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dition. Mais, sur des sujets qu’il avait lui-même
choisis
pour l’intérêt qu’il leur portait, il ne pouvait s’en tenir là. Tout
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e, toutes des agences d’État, c’étaient elles qui
choisissaient
les faits, qui décidaient parmi les milliards de choses qui se passen
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« voilà les faits importants d’hier » et qu’on ne
choisit
que ceux qui intéressent le gouvernement, qui vont dans son sens. Tou
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gieusement convaincue que le territoire qu’elle a
choisi
est le nombril du monde. Ce n’est pas une façon de parler : l’omphalo
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reconnaît à certains traits, comme le fait qu’il
choisit
ses arguments de préférence dans le domaine mécanique ou dans la géom
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dis que le type libéral libertaire pluraliste les
choisira
plutôt dans la biologie. Celui qui veut la puissance se préoccupe sur
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oncrètes et le culte prolongé d’un mythe, il faut
choisir
. 13 novembre 1970 Toute l’histoire de nos créations artistiques et in
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péenne se résout à un choix de finalités. Si l’on
choisit
la puissance, on bâtira un super-État-nation reproduisant, à l’échell
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, militaristes du système stato-national. Si l’on
choisit
la liberté, à la fois au niveau des personnes et des communautés, on
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ir des hommes libres, donc des hommes capables de
choisir
d’une manière nécessairement imprévisible — c’est eux qui choisiront,
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nière nécessairement imprévisible — c’est eux qui
choisiront
, et pas l’État pour eux —, d’une manière qui peut être mauvaise pour
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n d’assumer notre rôle libre et responsable et de
choisir
concrètement entre les finalités antinomiques que nous poursuivons en
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ces dilemmes se résument finalement en deux mots,
choisir
comme finalité suprême la puissance ou choisir la liberté. 2. Auto
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s, choisir comme finalité suprême la puissance ou
choisir
la liberté. 2. Autorité de l’État et liberté 13 décembre 1968 L
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ouve désormais en mesure, et donc en position, de
choisir
ce que sera sa vie. Cela pose, au niveau individuel et au niveau coll
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oyens et finsi 1. Problèmes de la liberté de
choisir
son destin 7 novembre 1969 La crise actuelle nous amène à poser po
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d’elle-même —, les hommes se voient contraints de
choisir
leur avenir, de choisir l’avenir de l’espèce humaine, et voilà le par
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s se voient contraints de choisir leur avenir, de
choisir
l’avenir de l’espèce humaine, et voilà le paradoxe : pour la première
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ois dans l’histoire, l’humanité est contrainte de
choisir
librement son avenir. 26 novembre 1971 Autrefois, tout était tracé d
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jeunes gens de ma génération me paraissent avoir
choisi
le métier qui était à la fois le moins éloigné de leurs goûts (dans l
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ibéré de la nécessité pure, il se voit capable de
choisir
l’avenir de sa civilisation, les buts de cette civilisation. Jusqu’ic
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clair des énergies, maintenant on peut prévoir et
choisir
, et l’on y est forcé, dès l’instant où on le peut. 3 février 1972 Les
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trophes désormais calculables nous contraignent à
choisir
librement notre avenir, nos finalités — alors que jusqu’ici, chacun f
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’il s’est déchargé de la peine de réfléchir et de
choisir
sur le parti ou la mode, ou même, dans le meilleur des cas, sur un di
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tales. 29 octobre 1971 Si l’on veut agir, il faut
choisir
: au nom de quelles finalités va-t-on faire les choix nécessaires ? S
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ûte très cher. En fait, l’industrie occidentale a
choisi
, pratiquement, jusqu’à ces dernières années, au nom du profit ou de l
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le pire, nous nous découvrons soudain obligés de
choisir
, c’est-à-dire nous nous voyons acculés à la nécessité d’une politique
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nte, le but dernier qui prime tout quand il y a à
choisir
, c’est la puissance collective, obtenue par l’unité forcée et uniform
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ulent mutuellement : si la politique est l’art de
choisir
entre plusieurs alternatives, l’utopie est l’art de rendre possible t