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l’invraisemblable. Ses plus amers reproches au «
christianisme
de la chrétienté », à cette « inconcevable illusion des sens », ne s’
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ceau de l’amour chrétien. 3. Apprentissage du
christianisme
. 4. Dans ce sens, la catégorie récemment « découverte » par les psyc
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achfolge wird nachfolgen ». 9. Apprentissage du
christianisme
. 10. Traité du désespoir, trad. Gateau, p. 105. 11. Isaïe 21, 11.
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tredisent radicalement la pratique et les fins du
christianisme
, dont elles dérivent d’ailleurs obscurément, mais coupées de leurs li
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ologiens de l’école hégélienne, ou adversaires du
christianisme
, tous, dans un commun accord, enseignaient ou laissaient entendre, pa
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de parler dans le même sens d’une « doctrine » du
christianisme
. Le chrétien, et surtout le protestant, répugne absolument à concevoi
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puissent figurer la théorie d’une pratique49. Le
christianisme
n’est pas un programme ; ni, comme le disent certains primaires marxi
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il a pu paraître cela, c’est dans la mesure où le
christianisme
, aux yeux des masses, n’a plus osé se montrer chrétien. C’est que le
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ien, tu prouves simplement que tu ignores tout du
christianisme
. » (Je répète que ce n’est pas sa faute, à ce marxiste, mais notre fa
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isme, alors que la critique marxiste porte sur un
christianisme
dénaturé. Et l’essentiel du marxisme, je le répète, c’est sa volonté
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is terrestre, le paradis temporel de l’homme ; le
christianisme
prépare un Royaume éternel, qui sera celui de Dieu, non de la Terre.
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» le fait bien voir. Un homme qui se convertit au
christianisme
, c’est un homme qui reçoit et qui saisit la Révélation en Personne. E
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s Groupes, qui représentent à l’heure actuelle le
christianisme
le plus « activiste ». Pourquoi refusent-ils de s’occuper de politiqu
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pour toutes de la théologie. Mais je crois que le
christianisme
, aussitôt qu’il se manifeste en vérité, entre en conflit avec certain
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ppeler celle de l’Empire romain au premier âge du
christianisme
, telle que nous l’évoquions plus haut. Toutefois, l’un des facteurs a
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vérité » du communisme résulte de la trahison du
christianisme
par la chrétienté. Toutes les aspirations valables et généreuses du m
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’esprit démissionne ! 52. « Je ne vois jamais le
christianisme
devenir révolutionnaire ! » S’exclamait naguère Jean Guéhenno (Union
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de socialisme en Asie, cela tient à l’absence du
christianisme
. » Je note ici, à l’appui des dires de de Man, que le mouvement syndi
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e, on ne saurait établir que la sécularisation du
christianisme
résulte nécessairement de l’Évangile ! 54. Déclaration d’un étudiant
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qui ne viendront pas… Héritage d’Israël Le
christianisme
par sa nature même, brisait avec le nationalisme exclusif du judaïsme
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dans la totalité de l’être, revient à celle d’un
christianisme
qui se met au service de l’humain (j’entends bien de l’humain purifié
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religion s’ajoutant à ceux de la raison), et d’un
christianisme
absolu, qu’on déclare volontiers « inhumain » parce qu’il attribue to
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ogmatisme. Tout se passe ici « à l’intérieur » du
christianisme
, de l’Église. L’humanisme laïque, autonome, est simplement nié, comme
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lors, on peut se demander si ceux qui refusent le
christianisme
échappent vraiment à la difficulté ; ou si, au contraire, ils ne la r
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e du débat. Mais le plus grand des adversaires du
christianisme
dans les temps modernes, Nietzsche, aboutit à un dilemme qui me paraî
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andieu (qui d’ailleurs était nietzschéen). Que le
christianisme
vrai revive dans ce mouvement, je serais mal venu à le nier. En tant
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toute franchise. Du moins ne tiennent-ils pas le
christianisme
dont je parle pour une niaiserie sentimentale. À défaut de la foi, il
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l se mit à attaquer avec une extrême violence, le
christianisme
officiel et ses évêques, il se vit abandonné dans la plus complète so
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ant de l’acte d’obéissance. Cessons de prendre le
christianisme
« à bon marché », comme les évêques. Pensée centrale de l’œuvre énorm
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plaisanterie, valeurs éternelles et opportunisme,
christianisme
et confort moral, témoignage, discours académiques. L’évêque Nynster
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vérité, il y a quelque chose de plus contraire au
christianisme
que n’importe quelle hérésie, et c’est de jouer au christianisme, d’e
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ue n’importe quelle hérésie, et c’est de jouer au
christianisme
, d’en écarter les dangers, et de jouer ensuite au jeu que l’évêque Ny
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« Il n’y a pas eu, durant mille-huit-cents ans de
christianisme
, une seule tâche comparable à la mienne. Dans la ‟chrétienté”, elle a