1 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
1 l’invraisemblable. Ses plus amers reproches au «  christianisme de la chrétienté », à cette « inconcevable illusion des sens », ne s’
2 ceau de l’amour chrétien. 3. Apprentissage du christianisme . 4. Dans ce sens, la catégorie récemment « découverte » par les psyc
3 achfolge wird nachfolgen ». 9. Apprentissage du christianisme . 10. Traité du désespoir, trad. Gateau, p. 105. 11. Isaïe 21, 11.
2 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
4 tredisent radicalement la pratique et les fins du christianisme , dont elles dérivent d’ailleurs obscurément, mais coupées de leurs li
5 ologiens de l’école hégélienne, ou adversaires du christianisme , tous, dans un commun accord, enseignaient ou laissaient entendre, pa
6 de parler dans le même sens d’une « doctrine » du christianisme . Le chrétien, et surtout le protestant, répugne absolument à concevoi
7 puissent figurer la théorie d’une pratique49. Le christianisme n’est pas un programme ; ni, comme le disent certains primaires marxi
8 il a pu paraître cela, c’est dans la mesure où le christianisme , aux yeux des masses, n’a plus osé se montrer chrétien. C’est que le
9 ien, tu prouves simplement que tu ignores tout du christianisme . » (Je répète que ce n’est pas sa faute, à ce marxiste, mais notre fa
10 isme, alors que la critique marxiste porte sur un christianisme dénaturé. Et l’essentiel du marxisme, je le répète, c’est sa volonté
11 is terrestre, le paradis temporel de l’homme ; le christianisme prépare un Royaume éternel, qui sera celui de Dieu, non de la Terre.
12 » le fait bien voir. Un homme qui se convertit au christianisme , c’est un homme qui reçoit et qui saisit la Révélation en Personne. E
13 s Groupes, qui représentent à l’heure actuelle le christianisme le plus « activiste ». Pourquoi refusent-ils de s’occuper de politiqu
14 pour toutes de la théologie. Mais je crois que le christianisme , aussitôt qu’il se manifeste en vérité, entre en conflit avec certain
15 ppeler celle de l’Empire romain au premier âge du christianisme , telle que nous l’évoquions plus haut. Toutefois, l’un des facteurs a
16  vérité » du communisme résulte de la trahison du christianisme par la chrétienté. Toutes les aspirations valables et généreuses du m
17 ’esprit démissionne ! 52. « Je ne vois jamais le christianisme devenir révolutionnaire ! » S’exclamait naguère Jean Guéhenno (Union
18 de socialisme en Asie, cela tient à l’absence du christianisme . » Je note ici, à l’appui des dires de de Man, que le mouvement syndi
19 e, on ne saurait établir que la sécularisation du christianisme résulte nécessairement de l’Évangile ! 54. Déclaration d’un étudiant
3 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
20 qui ne viendront pas… Héritage d’Israël Le christianisme par sa nature même, brisait avec le nationalisme exclusif du judaïsme
4 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
21 dans la totalité de l’être, revient à celle d’un christianisme qui se met au service de l’humain (j’entends bien de l’humain purifié
22 religion s’ajoutant à ceux de la raison), et d’un christianisme absolu, qu’on déclare volontiers « inhumain » parce qu’il attribue to
23 ogmatisme. Tout se passe ici « à l’intérieur » du christianisme , de l’Église. L’humanisme laïque, autonome, est simplement nié, comme
24 lors, on peut se demander si ceux qui refusent le christianisme échappent vraiment à la difficulté ; ou si, au contraire, ils ne la r
25 e du débat. Mais le plus grand des adversaires du christianisme dans les temps modernes, Nietzsche, aboutit à un dilemme qui me paraî
5 1938, Articles divers (1936-1938). Réponse à Pierre Beausire (15 janvier 1938)
26 andieu (qui d’ailleurs était nietzschéen). Que le christianisme vrai revive dans ce mouvement, je serais mal venu à le nier. En tant
27 toute franchise. Du moins ne tiennent-ils pas le christianisme dont je parle pour une niaiserie sentimentale. À défaut de la foi, il
6 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
28 l se mit à attaquer avec une extrême violence, le christianisme officiel et ses évêques, il se vit abandonné dans la plus complète so
29 ant de l’acte d’obéissance. Cessons de prendre le christianisme « à bon marché », comme les évêques. Pensée centrale de l’œuvre énorm
30 plaisanterie, valeurs éternelles et opportunisme, christianisme et confort moral, témoignage, discours académiques. L’évêque Nynster
31 vérité, il y a quelque chose de plus contraire au christianisme que n’importe quelle hérésie, et c’est de jouer au christianisme, d’e
32 ue n’importe quelle hérésie, et c’est de jouer au christianisme , d’en écarter les dangers, et de jouer ensuite au jeu que l’évêque Ny
33 « Il n’y a pas eu, durant mille-huit-cents ans de christianisme , une seule tâche comparable à la mienne. Dans la ‟chrétienté”, elle a