1 r la note suivante : « C’est dans la mesure où le christianisme a signifié la fin des religions et des magies, nées de la peur, qu’il

2 à l’attitude et à la dialectique fondamentale du christianisme . »

3 ciment. Les Grecs ont inventé l’individu mais le christianisme lui a ajouté la vocation. L’individu chargé d’une vocation qui, à la

4 roient leur Dieu vivant. (Cf. les statistiques du christianisme , de l’islam et de bien des religions que nous nommons païennes.) Voyo

5 ouvelle est nulle. ⁂ Reste le fait que le Dieu du christianisme , du judaïsme et de l’islam, le Dieu qui s’intéresse à chaque homme (e

6 mirable ouvrage de Karl Jaspers : Nietzsche et le christianisme . 9. Car Dieu, même si quelqu’un croit qu’il n’est pas, reste en tout

7 ’est un fait.) Les réactions parfois violentes au christianisme (athéisme, anticléricalisme) ou bien imitent à rebours ce qu’elles co

8 justement au shintoïsme, n’attaquera même pas le christianisme , elle se contentera de l’annexer dans les occasions décisives. Lorsqu

9 osaphat, prince indien, à découvrir et adopter le christianisme , dont les mystères lui sont communiqués par le « bonhomme » Barlaam.