1 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle de la recherche en Europe (décembre 1954-janvier 1955)
1 e les rattache à nos plus grandes traditions : le christianisme et l’esprit scientifique. Notre inquiétude provient de notre foi, et
2 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Henri Brugmans, Les Origines de la civilisation européenne (septembre 1959)
2  : Rome, les Barbares, l’hellénisme, Israël et le christianisme . À la triade classique Athènes-Rome-Jérusalem, il ajoute à bon droit
3 ent que d’autres l’héritage hébraïque de celui du christianisme . C’est avec sa deuxième partie, les Expériences communes, que Brugman
3 1965, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe et le monde [Introduction] (février 1965)
4 ième groupe de rapports traite des liens entre le christianisme et la civilisation européenne, du sécularisme — phénomène typique de
4 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
5 urs courants civilisateurs (Proche-Orient, Grèce, christianisme , Celtes, Germains, puis Arabes et Slaves) et qui s’est, au cours des
6 ypte, Mésopotamie, Crête, Grèce, Rome, Jérusalem, christianisme , Celtes, Germains, Arabes, Slaves : nous avons tous subi ces influenc
7 e qui a contrevenu aux lois, etc. Ceux hérités du christianisme , tels que le salut par la grâce ou par les œuvres, le péché, la vocat
5 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
8 le » assure-t-on, et comme ce n’est plus guère le christianisme , ce sera donc le nationalisme, le culte de la patrie étatisée, seul A
6 1971, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Dépolitiser la politique (printemps 1971)
9 ui s’en serve. On ne brûle plus les hérétiques du christianisme mais on fusille ou pend ceux que l’on accuse d’intelligences avec l’e
7 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
10 n affirmer pour autant que tout cela annonçait le christianisme , sa spécificité religieuse, et le besoin qui peut-être s’en faisait s
8 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Quand même il serait seul… (Sur un texte de George Orwell) (automne 1975)
11 le capitalisme (libéral ou non) n’est pas lié au christianisme (libéral ou non, — et l’adjectif n’a pas le même sens dans les deux c
12 parce que l’événement annoncé — l’effondrement du christianisme , ou de sa culture — ne se passe pas hors de nous et sans nous, collec
13 ement son prochain se comporte en chrétien, et le christianisme par cet acte existe en lui, quand même il serait seul. Mais ce n’est
14 quand même il serait seul. Mais ce n’est pas « le christianisme  » institué qui aime un humain, ou cesse de l’aimer et s’effondre. Qua
15 ivante ou non. Et non pas du tout de savoir si le christianisme (ou « la culture chrétienne libérale », comme le dit Orwell trop vagu
16 lers religieux. Orwell a vu que les substituts du christianisme , de l’Église et du cléricalisme seront le socialisme, le Parti et l’a
9 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
17 ui, sur les traces de Karl Barth, a montré que le christianisme n’est pas une religion à proprement parler, c’est-à-dire : — ne propo
18 mpire romain les religions du Proche-Orient et le christianisme . Puis viennent les peuplades germaniques, descendant du Nord-Est, qui