1 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
1 e de l’Église, parce que nous avons transformé le christianisme en quelque chose de rassurant, de distingué, de commode et même de bo
2 à celui qui nous apportait cette possibilité. Le christianisme , probablement par la faute de ses ministres, ne satisfaisait plus dep
3 itable — et souvent inconscient — de remplacer le christianisme défaillant par le culte social de l’État et de son principe « sacral 
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
4 ieur. Or, notre civilisation, sous l’influence du christianisme , s’est efforcée de nous faire comprendre que la vraie cause de nos ma
5 la presse quotidienne. On ne peut plus prêcher le christianisme dans un monde où règne la presse. » Et Nietzsche, de son côté, dénonç
6 ’a bien vu : le bolchévisme fut le châtiment d’un christianisme devenu passif devant le monde. Or il me semble que, là encore, un rév
3 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
7 j On a parfois décrit la situation présente du christianisme (protestant surtout) comme l’inverse de celle du xixe siècle. Alors,
8 gnostiques, puis des Celtes, et des Germains. Le christianisme , étant la seule grande religion qui n’ait pas institué de morale codi