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ultats au cours d’une impossible entreprise. » Le
christianisme
: une impossible entreprise. Telle est bien la constatation cruciale
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la suite de Kierkegaard il nous fait voir que le
christianisme
, c’est l’immédiat, l’instant éternel de la foi, et non l’histoire de
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eux ; toute ma carrière littéraire se rapporte au
christianisme
, et en particulier à ce problème : comment peut-on devenir chrétien ?
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difficultés intimes, d’entrer dans le concret du
christianisme
. Une dizaine d’entre nous parlèrent, sans artifices ni gêne, ni excès
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tifiques, etc. Il voit la réalité fondamentale du
christianisme
primitif dans le contact d’homme à homme, dans la confession mutuelle
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mpereur et d’une danseuse, Kagawa se convertit au
christianisme
pendant ses études et déclare renoncer à toute fortune. Sa famille le
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ent de finir aussi mal que possible ? Non, car le
christianisme
se passe dans cette vie ou bien n’est pas le christianisme. Et l’on s
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isme se passe dans cette vie ou bien n’est pas le
christianisme
. Et l’on serait en droit de prétendre qu’un roman pessimiste à la Tho
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elles ». Fort bien, répondrait un marxiste, si le
christianisme
est cela, nous lui laisserons ses rêveries et nous nous chargerons de
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dont il fut l’un des principaux initiateurs : le
christianisme
social, et l’union des églises non romaines, grande espérance œcuméni
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re orientale que tout dernièrement, à la suite du
christianisme
. J’avoue que votre démonstration me paraît convaincante. Mais comment
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re ce terme. On a tendance à opposer humanisme et
christianisme
, et je me sens plutôt du côté du christianisme. Au mot « humaniste »,
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et christianisme, et je me sens plutôt du côté du
christianisme
. Au mot « humaniste », je préfère le mot « moraliste ». … illustrée p
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le s’est laïcisée, ou sécularisée, et détachée du
christianisme
qui contribua de tant de manières à la former. Par là même — et c’est