1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 lle encore de ces évasions ? Elle les reproche au christianisme , avec moins de raison d’ailleurs (puisque le christianisme affirme qu
2 isme, avec moins de raison d’ailleurs (puisque le christianisme affirme que l’éternité est dans l’instant : Aeternitas non est tempus
3 mantique (Nietzsche plus chrétien que son idée du christianisme ). Plus goethéenne aussi. Mais gardons-nous de tirer de ceci je ne sai
2 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sur l’esprit incarné (février 1936)
4 , et que certains antichrétiens, plus pénétrés de christianisme qu’ils ne le croient, préfèrent appeler révolution. Ces questions me
3 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
5 ur, et la religion bourgeoise qui veut prendre le christianisme « à bon marché » ; parce qu’il en appelle d’un christianisme théoriqu
6 me « à bon marché » ; parce qu’il en appelle d’un christianisme théorique à un christianisme existentiel — ce qui est le mouvement mê
7 u’il en appelle d’un christianisme théorique à un christianisme existentiel — ce qui est le mouvement même de la Réforme — on a voulu
4 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
8 ne peut pas tenir compte des données concrètes du christianisme  : le péché, le salut, le drame de la révolte et de l’amour. Mais elle
9  hors de propos » d’envisager. Le sérieux même du christianisme .51 Alain dit quelque part n’avoir jamais connu de « vrai croyant » q
5 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
10 re certaines altérations, les plus fréquentes, du christianisme  : le mépris de la nature, et d’autre part, le recours à l’orthodoxie
11 souci central de Gide ait été de débarrasser son christianisme de toutes les adjonctions « humaines — trop humaines » du moralisme n
6 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
12 é. Tout cela peut éclairer son attitude envers le christianisme et son mystère. Peu d’instinct religieux chez cet homme, alors que le
13 d’instinct religieux chez cet homme, alors que le christianisme , l’Église et l’Évangile, furent ses constants sujets d’irritation, de
14 nse affectivité le liait, le reliait, au monde du christianisme , même s’il en refusait les dimensions profondes. J’ai dit qu’il se mé
15 duel, et cette croyance est née de la synthèse du christianisme . Elle n’existe pas hors de lui, et n’est pas explicable sans lui. (Je
7 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
16 loin de représenter je ne sais quel « âge d’or du christianisme  » — comme on l’a ressassé depuis les romantiques — fut bien plutôt da
17 s de la vision historique, loin de séculariser le christianisme , comme beaucoup le craignent, s’y conforme de plus en plus, à mesure
18 la règle — d’où les martyrs des premiers temps du christianisme . Si, au contraire, le « sens » appartient à l’Histoire, et l’Histoire
19 doute inséparable de l’historicité initiée par le christianisme  : il suffit que la foi faiblisse, ou que le défi du temps paraisse in
8 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
20 utre ? Est-ce bien le même ? La Personne Le christianisme a formé l’Occident, en formant, dès les premiers conciles, ses modèle
21 tre renouvelé qui demeure cachée en Dieu selon le christianisme , mais encore, et d’une manière plus précise dans l’homologie, ces ent
22 azdéisme, comme plus tard les soufis, et comme le christianisme véritable, ne demande pas d’abord ce qu’est l’homme, mais qui es-tu ?
23 d’être né.72 » Par où nous rejoignons un certain christianisme — à partir d’un certain bouddhisme — et certainement le mazdéisme et
24 t Kierkegaard voyait juste quand il disait que le christianisme , en condamnant la sensualité au nom de l’esprit, l’a posée comme réal
25 se veut « scientifique ». À cause de la nature du christianisme et de la nature de l’hindouisme ou du bouddhisme, la vie réelle de l’
26 ’islam, bien entendu, au moins autant que pour le christianisme et le judaïsme. « Dans l’Arabe, tout est colère », écrit Henri Michau