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Humanisme et
christianisme
(mars 1933)a Je ne suis pas venu pour vous apporter un exposé syst
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humaines. Croyance qui s’oppose rigoureusement au
christianisme
, s’il est avant tout la croyance au salut de l’homme par la seule for
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se économie d’énergie et de courage. Pour eux, le
christianisme
est contre l’homme. 2. À cela, les chrétiens répondent : Comment l’ho
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e soulevant par la chevelure. 3. Humanisme contre
christianisme
, n’est-ce donc qu’un conflit d’amour, assez touchant ? Est-ce à celui
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ie. L’humaniste pourra répondre qu’à ses yeux, le
christianisme
n’est qu’une assurance-paradis. Mais le reproche est aussi misérable
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se veuille le second dans ses attaques contre un
christianisme
confondu d’ailleurs avec une certaine « culture », il ne semble pas q
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arxisme-léninisme » peut être opposé utilement au
christianisme
, comme une « question » réelle et féconde. Mais en face de ce triomph
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est un embusqué de l’infini. » a. « Humanisme et
christianisme
», Le Semeur, Paris, n° 5, mars 1933, p. 286-293. La première note in
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ique de La Foi à la résurrection de Jésus dans le
christianisme
primitif, de Maurice Goguel, publié à la Librairie Ernest Leroux. c.
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c l’histoire des trahisons les plus flagrantes du
christianisme
. Voilà bien la fatalité qui pèse sur notre histoire : une politique c
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i le distingue en fin de compte du socialiste. Le
christianisme
annonce une réalité, non pas un rêve. Il annonce le salut pour ceux q
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le prétendu matérialisme socialiste, comme si le
christianisme
était moins réaliste et comme si les chrétiens ne vivaient pas aussi
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t la culture. Cette dernière s’établira contre le
christianisme
et probablement avec les orientations suivantes : science, (scientism
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émane pas d’une théologie, ni même directement du
christianisme
. Elle peut se rallier à une attitude politique, inspirée par un pur h
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d’obéir à sa vocation sont incompatibles avec le
christianisme
. Par exemple, toutes les idéologies totalitaires nient par définition
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Chances d’action du
christianisme
(juin-juillet 1946)h Depuis des siècles, depuis la Renaissance, le
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Depuis des siècles, depuis la Renaissance, le
christianisme
a vécu sur la défensive. Les hiérarchies ecclésiastiques défendaient
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des idéaux et un monde plus efficaces qμe ceux du
christianisme
. C’est un fait que « les derniers progrès de la Science » autorisent
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e à mes yeux les plus grandes chances d’action du
christianisme
au xxe siècle, resterait une pure utopie si les chrétiens s’en remet
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çoit. Exemple, Abraham. h. « Chances d’action du
christianisme
», Le Semeur, Paris, n° 8-9, juin-juillet 1946, p. 654-659.