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ue l’existence de la presse quotidienne « rend le
christianisme
impossible ».) De plus, ces journaux « mis au pas » se trouvent conte
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patriotique », disait l’abbé Grégoire. C’est le «
christianisme
positif » du 24e point d’Hitler, la « piété » des Deutsche Christen,
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résistance des chrétiens : ils se figurent que le
christianisme
est un parti.) La vérité est autrement tragique. La vérité est que le
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ui nous apportait cette possibilité de croire. Le
christianisme
, probablement par la faute de ses ministres, ne satisfaisait plus dep
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roire. » Ruine des croyances communes, carence du
christianisme
, appel irrationnel à de nouvelles raisons de vivre, volonté angoissée
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rmanique, et non pas à toutes les races, comme le
christianisme
… Le 24e point du programme du Parti n’entend parler que de « religios
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e que la religiosité courante en ce pays était le
christianisme
, et pour plus de clarté, qu’on a utilisé le terme de « christianisme
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our plus de clarté, qu’on a utilisé le terme de «
christianisme
positif ». La formation politico-culturelle consiste dans une prise d
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ejetons pas seulement les cent formes diverses de
christianisme
, mais le christianisme en soi… Tous les membres des diverses confessi
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es cent formes diverses de christianisme, mais le
christianisme
en soi… Tous les membres des diverses confessions sont plus ou moins
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raciale étrangère. Ce qu’il faut attaquer dans le
christianisme
: les obscènes contes juifs, le dogme du péché originel (né de la vol
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e l’opposition entre le national-socialisme et le
christianisme
… Il fait évidemment allusion aux Deutsche Christen. » Finalement les