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ucratisée, qui a permis et préparé le triomphe du
christianisme
. Mais je demeure persuadé que la seule possibilité d’une communauté p
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ommuns à ces régimes : leur opposition brutale au
christianisme
dès qu’ils sont assez forts pour lever le masque, et leur mépris de l
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ieur. Or, notre civilisation, sous l’influence du
christianisme
, s’est efforcée de nous faire comprendre que la vraie cause de nos ma
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la presse quotidienne. On ne peut plus prêcher le
christianisme
dans un monde où règne la presse. » Et Nietzsche, de son côté, dénonç
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’a bien vu : le bolchévisme fut le châtiment d’un
christianisme
devenu passif devant le monde. Or il me semble que là encore, un réve
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e parfois que c’est moins parce qu’ils croient le
christianisme
vrai, que parce qu’ils le croient utile au bon moral de la nation, vo