1 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
1 é bien définie, et de plus en plus formidable. Le christianisme lui donne un rôle dans les récits de la vie de Jésus. Et dans l’Apoca
2 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
2 il notait qu’on ne peut plus prêcher utilement le christianisme dans un monde dominé par la presse quotidienne. Toutefois, l’incognit
3 e qui est universel ou du moins supranational, le christianisme , le judaïsme, le droit, la culture, la raison, il enferme son peuple
4 ut le national-socialisme. Je ne parle pas ici du christianisme , mais de la religion en général comme phénomène humain, cause et prod
5 organisé. Que deviendra, dans l’ère gnostique, le christianisme  ? J’imagine que Satan va nous offrir un choix considérable d’Antéchri
6 taines âmes, il nous dira : « Faisons au moins du christianisme une religion comme toutes les autres, un écran entre l’homme et Dieu,
3 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
7 tue et anéantie hors d’eux-mêmes. À l’inverse, le christianisme s’est efforcé depuis des siècles de nous faire comprendre que le Roya
4 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
8 de scandale et de tragédie ! Car tout le sens du christianisme tient en trois actes essentiellement tragiques : prendre sur soi le m
9 yché occidentale, est né d’un retour de flamme du christianisme dans les marges de l’hérésie. Inconnu de l’Antiquité et de l’Orient,
5 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
10 ntenant ? Je dirai la réponse « chrétienne » — le christianisme est à réinventer — comme la seule que je sente admirable au-delà des