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é bien définie, et de plus en plus formidable. Le
christianisme
lui donne un rôle dans les récits de la vie de Jésus. Et dans l’Apoca
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il notait qu’on ne peut plus prêcher utilement le
christianisme
dans un monde dominé par la presse quotidienne. Toutefois, l’incognit
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e qui est universel ou du moins supranational, le
christianisme
, le judaïsme, le droit, la culture, la raison, il enferme son peuple
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ut le national-socialisme. Je ne parle pas ici du
christianisme
, mais de la religion en général comme phénomène humain, cause et prod
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organisé. Que deviendra, dans l’ère gnostique, le
christianisme
? J’imagine que Satan va nous offrir un choix considérable d’Antéchri
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taines âmes, il nous dira : « Faisons au moins du
christianisme
une religion comme toutes les autres, un écran entre l’homme et Dieu,
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tue et anéantie hors d’eux-mêmes. À l’inverse, le
christianisme
s’est efforcé depuis des siècles de nous faire comprendre que le Roya
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de scandale et de tragédie ! Car tout le sens du
christianisme
tient en trois actes essentiellement tragiques : prendre sur soi le m
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yché occidentale, est né d’un retour de flamme du
christianisme
dans les marges de l’hérésie. Inconnu de l’Antiquité et de l’Orient,
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ntenant ? Je dirai la réponse « chrétienne » — le
christianisme
est à réinventer — comme la seule que je sente admirable au-delà des