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aturellement préférable de convertir les Turcs au
christianisme
, par la persuasion, par les bienfaits, et par l’exemple d’une vie pur
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tans ou « Ismaéliens », par la propagation d’un «
christianisme
raisonnable ». Cela fait, quand tous seront un : Donnons au monde en
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étienté par ce moyen pacifique ; la réputation du
christianisme
qui a souffert du fait des guerres sanglantes et injustes que les chr
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nt par les relations nouvelles de la Chine, où le
christianisme
vient d’être autorisé et appuyé d’un édit du roy, que par l’ambassade
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aient rencontré à la conversion des habitants au
christianisme
, c’est que les nobles ne veulent point admettre que les gens du peupl
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croyance en un Dieu infiniment pur et parfait, le
christianisme
qui fait de la charité un devoir envers tous les hommes, domine parto
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des plaisirs spirituels ; ces avantages c’est au
christianisme
qu’on les doit car d’une part cette religion enseigne des vérités si
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iscours, sur les avantages que l’établissement du
christianisme
a procurés au genre humain ». De ce long exercice de rhétorique, dét
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ues et leur superstition nordique au cœur même du
christianisme
. Comme la plupart de ses contemporains, Schiller voyant l’Europe déc
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ode de transition entre la religion grecque et le
christianisme
. Entrez donc aussi, philanthropes et encyclopédistes dans cette loge
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est la patrie de toute religion véritable mais le
christianisme
a fait l’Europe et peut seul sauvegarder son unité, en dépit des oppo
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et du classicisme, du moderne et de l’antique, du
christianisme
et de l’hellénisme. L’Empire de Charlemagne, puis la papauté (Schlege
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moderne qui débute, au fond, avec l’apparition du
christianisme
en Europe fait ressortir deux tentatives de l’humanité dans sa quête
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ndo-pélages ; ou enfin de la religion, qui est le
christianisme
, père de cette civilisation adulte qui marche à grands pas vers la co
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se sont succédé d’âge en âge depuis l’origine du
christianisme
jusqu’à la chute de l’empire d’Orient. N’oublions pas, dans cette gén
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emps, une forme de liberté. Et de qui est fils le
christianisme
lui-même, que je ne sépare pas de cette généalogie révolutionnaire ?
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pare pas de cette généalogie révolutionnaire ? Le
christianisme
est fils du judaïsme, de l’égyptianisme, du brahmanisme, du magisme,
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conforme ou non à l’idée russe de l’humanité, du
christianisme
et de l’ordre social. Ce privilège exorbitant, existe-t-il en fait, e
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tre résolus que par le divin, et auxquels seul le
christianisme
pourrait répondre, a déjà répondu depuis longtemps. Depuis que le Qua
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que exercée depuis des milliers d’années — car le
christianisme
est du platonisme à l’usage du « peuple » — cette lutte a créé en Eur
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nces chargées de défendre la paix : socialisme et
christianisme
.265 La renaissance des projets d’union date des lendemains de la Pr
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d’expliquer le Monde, les mille et une nuances du
christianisme
, les deux douzaines de positivismes : tout le spectre de la lumière i
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t citoyen d’un monde polyphonique où antiquité et
christianisme
s’amalgament en un tardif alliage, fut ce citoyen des villes libres,
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e mot de Stendhal : « L’Europe moderne est née du
christianisme
. » Accordons à notre historien qu’au début de l’Europe cette communau
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a puissance organisée et stable. Vint ensuite le
christianisme
: À la parole de saint Pierre, quoique l’une des très rares religion
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s rares religions qui fussent mal vues à Rome, le
christianisme
, issu de la nation juive, s’étend aux gentils de toute race ; il leur
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progressivement le profond de la conscience. … Le
christianisme
propose à l’esprit les problèmes les plus subtils, les plus important
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conditions des femmes, que sais-je encore ? — Le
christianisme
éduque, excite, fait agir et réagir des millions d’esprits pendant un
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riand avait brillamment démontré dans le Génie du
christianisme
que le secret de la grande littérature européenne réside dans la synt
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quelle vécut Virgile soit plus proche de celle du
christianisme
que la civilisation d’Homère ; nous sommes en droit de dire que Virgi
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lassiques et les prosateurs latins, est proche du
christianisme
d’une manière unique. Il est une formule que j’ai tenté d’éviter mais
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ans de nombreuses publications sur l’Europe et le
christianisme
, revient ce dangereux lieu commun qui veut que la sécularisation et l
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rétiques des xiie et xiiie « appartiennent » au
christianisme
de leur époque, tout comme le catholicisme post-tridentin, du xvie a
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orcé de son esprit notre individualisme actif, le
christianisme
a apporté à l’Europe un système surnaturel qui ne tolérait pas de riv
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i ne tolérait pas de rivaux. Dans la mesure où le
christianisme
a détruit ou écarté les croyances « naturelles » païennes et barbares
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tuel sur les principes de Socrate. À son tour, le
christianisme
pose des limites humaines à la neutralité inhumaine de la recherche s
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ns et par toutes les méthodes possibles ; mais le
christianisme
tient à ce que toutes les recherches soient, en fin de compte, utiles
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l’Europe la grande antithèse de l’antiquité et du
christianisme
; tous deux se combattent et s’unissent jusqu’aujourd’hui. Elles sont
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ent que l’intelligence et la force. L’héritier du
christianisme
heureux, c’est Pascal. L’héritage de l’Europe, c’est l’humanisme trag
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est d’origine européenne. Mais pour ce qui est du
christianisme
, sa force expansive et active vient précisément de ce qu’il incarne l
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, pour nous, qu’une conséquence entre d’autres du
christianisme
; il remonte directement à des racines spirituelles extrêmement profo
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t son unité propre de son patrimoine culturel, du
christianisme
et des anciennes civilisations de la Grèce, de Rome et d’Israël, dont
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Dans un bref et dense ouvrage sur Nietzsche et le
christianisme
. Le texte que nous citons, résumant les développements du chapitre II