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nous prions et chantons ensemble. » Ici, je dois
citer
Rudolf Kassner, essayiste autrichien de génie. Personne n’a mieux tra
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. Revenons à la déclaration de Ramakrishna que je
citais
en tête de ce chapitre : « Il n’y a aucune différence, que vous l’app
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l’action porte ses fruits ou non ? » Je viens de
citer
dans l’ordre saint Jean de la Croix, Eckhart, et la Bhagavad-Gita. Et
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son maître d’avoir à tuer ces insectes. (Anecdote
citée
par R. Kassner, op. cit.) a. « La voie et l’aventure », La Table ron
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mentaire connu sous le nom de filibuster. Je n’en
citerai
qu’un exemple qui me tombe sous les yeux pendant que j’écris14. Bien
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ns du progrès, de Georges Sorel. Puis on se mit à
citer
Bergson, réclamant un supplément d’âme pour ce corps subitement agran
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a fois, sous peine de ne plus compter. Inutile de
citer
des noms : ce seraient ceux, justement, que tout le monde connaît, la
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mme, qui aurait ici le droit de se plaindre. Vous
citez
l’apprenti sorcier. Et qui ne l’a pas cité, quel journaliste ? En pen
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nuels de toutes les organisations que je viens de
citer
(à l’exception du CERN en construction) équivaudrait à peine aux poss
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artie par le fait que les auteurs que je viens de
citer
se référaient tous au seul destin du monde gréco-romain, le mieux con
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Genève, Pellegrino Rossi24. Il vaut la peine d’en
citer
quelques passages, qui évoquent irrésistiblement des situations que l
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philosophie, son économie et ses arts. On a beau
citer
le Moyen Âge comme une période bénie d’unité des esprits et des cœurs
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noté la phrase suivante, que j’ai plus d’une fois
citée
et publiée depuis : L’Européen ne serait-il pas cet homme étrange qu
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philosophie, son économie et ses arts. On a beau
citer
le Moyen Âge comme une période bénie d’unité des esprits et des cœurs
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mense, et je sais peu de phrases plus fréquemment
citées
que celle qui annonce que toutes les civilisations étant mortelles, l
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s Volney, méditant sur la mort des civilisations,
citait
à peu près les mêmes noms pour illustrer le même argument que Valéry
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e, sa morale, son économie et ses arts. On a beau
citer
le Moyen Âge comme une période bénie d’unité des esprits et des cœurs
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les autres qu’il triomphe. Permettez-moi de vous
citer
à ce propos deux textes dont le rapprochement éclaire cruellement mon
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qu’un étranger le voit ? S’il vient chez nous et
cite
l’un des Suisses qu’il connaît par sa réputation mondiale, pas une pe