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il, d’Henry Miller et de Lawrence Durrel, pour ne
citer
que très peu de noms des plus connus ; sans oublier la fameuse Histoi
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s serons ainsi du bon côté. Je n’invente pas : je
cite
et je condense cette dialectique humanitaire qui nous offre « un moye
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u volume, le Martiniquais Frantz Fanon. Sartre la
cite
et il ajoute, impressionné : « Ce ton est neuf. » Moi, ce qui m’impre
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orité des Européens au climat tempéré qui — je le
cite
— « semble avoir tout fait pour hâter les progrès de la civilisation
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que n’est pas née de sa géographie. Je me plais à
citer
sa description de l’Europe, dont Valéry me paraît bien s’être inspiré
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l’on voit qu’elle est ambiguë : qu’il suffise de
citer
, pour l’illustrer, l’ambiguïté de notre essor technique : nous allons
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s européennes font des progrès spectaculaires. Je
cite
le directeur des affaires culturelles françaises, qui disait en janvi
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d’aujourd’hui par la « sexualité déchaînée », on
cite
le triomphe en librairie de Fanny Hill et Justine en livre de poche a