1 erre moderne. Aussi bien, la page que je viens de citer ne propose-t-elle pas la non-résistance, mais au contraire une forme

2 abus et les trahisons du clergé de son siècle. On cite les répliques assez dures dont il gratifia plus d’un évêque ou supéri

3 atherine de Sienne, un Gerson, un Tauler, pour ne citer que des catholiques célèbres et indiscutables, avaient avant Jean Hus

4 mphlets des réformateurs. — En 1523 déjà, Zwingli cite l’exemple du Frère Claus dans un sermon sur le Bon berger et les mauv

5 du Frère Claus ». Quant à la petite prière que je citais plus haut (Gebetlein), elle avait été connue et publiée d’abord par d

6 t l’Église, remarque Dürrer.) Il y aurait lieu de citer enfin le libelle de Luther sur la « vision des épées », que Nicolas a

7 rables, déracinées et démoralisées. Enfin je vous citerai un cas individuel assez typique. Un grand banquier de Paris, membre d

8 convaincants », disait le pasteur que je viens de citer . Nous ne sommes pas convaincants, ajouterai-je, quand nous cherchons

9 sonnelles du pasteur ou de quelque écrivain qu’il cite , mais du seul et unique point de vue de la Bible. En résumé, la deuxi

10 miliers et manquer du sens des distances. Je vous citerai ici, en guise d’illustration, une anecdote qui frise peut-être la car

11 t bien compris. Il serait donc un peu excessif de citer nos adhésions tardives et réticentes comme autant de contributions à

12 t qu’enfin tous les chiffres et proportions qu’il cite vers la fin de son article soient erronés, — ceci pour deux motifs, l