1 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
1 des fous, des femmes possédées ; des ivrognes qui citent les Écritures ; peut-être aussi des saints qui se croient plus mauvai
2 . Il y a là vingt figures qui mériteraient d’être citées , et qui vivent dans la mémoire avec leurs gestes lents et leurs passi
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
3 membre de l’Académie Goncourt, M. Jean Ajalbert, citait l’autre jour quelques faits qui peuvent donner une idée assez juste d
4 n luxe, elle n’a pas à nourrir son homme. Et l’on cite M. Duhamel, qui est médecin. Voire ! Outre que les cas de « second mé
3 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
5 t attachée à l’étude des rêves : qu’il suffise de citer Freud et Jung et, d’autre part, l’école surréaliste. Une vague de rêv
4 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
6 Je répondrai : que n’avons-nous pas inventé ? Je cite pêle-mêle : le marxisme et la psychanalyse, la sociologie et les gran
5 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
7 onflit qui oppose le bolchévisme à l’Occident. Je cite  : D’aucuns estiment que le capitalisme est meilleur que le socialisme
6 1958, Journal de Genève, articles (1926–1982). Hommage à Pasternak (31 octobre 1958)
8 cier ou grand styliste, et nous passons. La radio cite et passe, la presse en fait autant, et nos sociétés d’écrivains ne se
7 1973, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Denis de Rougemont, l’amour et l’Europe » (3-4 mars 1973)
9 « dépassée ». Mais le Nouvel Observateur, qui la cite , ajoute : « Trente-cinq ans plus tard, il y a sûrement un changement.