1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 le étrangement ces vers du Premier Faust que l’on citait plus haut : « Moi qui me suis cru plus grand que le Chérubin. » « Poi
2 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
2 contemporains dont le succès consiste, lorsqu’ils citent des textes, à donner l’impression que ces textes n’ont, en somme, auc
3 en somme, aucun sens relativement à celui qui les cite , car alors où serait l’Impartialité ? Ces gens-là voudraient bien nou
3 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
4 re Eckhart, et surtout à son cher Tauler, dont il cite constamment les sermons. M. Chuzeville serait sans doute mieux inspir
4 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
5 son écaille essaie sa puissance » amène Schmidt à citer Marsile Ficin, Guy de la Boderie, Ronsard, Psellos, M. Laumonier, et
5 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
6 sur le Saint-Esprit autant que sur le doute. (Il cite ce mot d’un catholique à un pasteur : « Vous, vous croyez, mais nous
6 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
7 (Ce qui est chrétien.) Le même Chang Chen-Chi qui cite ce koan : Parfois, j’arrache la personne mais sauve l’objet. Parfois
8 tuel le personnalisme essentiel de ces doctrines, citons ce verset du Coran (24-41) qui pose comme une clef musicale : « Chaqu
9 vécue. — Dans le roman de Raja Rao qu’on vient de citer , cette sentence d’un upanishad reparaît à plusieurs reprises : En vér