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onfédération. Il n’en est pas de plus fréquemment
citée
dans les discours, manuels scolaires et écrits politiques suisses. C’
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t et contre les alliances étrangères. Il aimait à
citer
les avertissements de Nicolas de Flue, et ce fut lui qui fit passer d
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, en donne une description qu’il vaut la peine de
citer
ici, parce qu’elle souligne certains traits de tempérament politique
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u des États-nations modernes. Il vaut la peine de
citer
les termes dans lesquels Pellegrino Rossi14, le plus brillant avocat
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orces, nous trouverons pour les trois communautés
citées
plus haut : Pour 1000 femmes mariées, nombre de divorces : Vil
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olitique, tous les auteurs suisses sont d’accord.
Citons
-en trois : un homme d’État, un général, un romancier. Champion du rad
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n des documents majeurs de la pensée fédéraliste.
Citons
encore une de ses pages, qui formule en un raccourci saisissant les p
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avènement de l’État fédéral en 1848. Nietzsche le
cite
comme un des trois ou quatre auteurs qui aient su écrire la langue al