1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 onfédération. Il n’en est pas de plus fréquemment citée dans les discours, manuels scolaires et écrits politiques suisses. C’
2 t et contre les alliances étrangères. Il aimait à citer les avertissements de Nicolas de Flue, et ce fut lui qui fit passer d
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
3 , en donne une description qu’il vaut la peine de citer ici, parce qu’elle souligne certains traits de tempérament politique
4 u des États-nations modernes. Il vaut la peine de citer les termes dans lesquels Pellegrino Rossi14, le plus brillant avocat
3 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
5 orces, nous trouverons pour les trois communautés citées plus haut : Pour 1000 femmes mariées, nombre de divorces : Vil
4 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
6 olitique, tous les auteurs suisses sont d’accord. Citons -en trois : un homme d’État, un général, un romancier. Champion du rad
7 n des documents majeurs de la pensée fédéraliste. Citons encore une de ses pages, qui formule en un raccourci saisissant les p
8 avènement de l’État fédéral en 1848. Nietzsche le cite comme un des trois ou quatre auteurs qui aient su écrire la langue al