1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
1 e ! On a dit aussi que les cours les plus souvent citées par les troubadours comme particulièrement accueillantes, étaient cel
2 e. Je veux parler de l’école du trobar clus, déjà citée , et que M. Jeanroy définit en ces termes : « Un autre moyen (pour « e
3 ter le christianisme primitif. Et il est juste de citer ici le jugement d’un dominicain qui eut l’occasion de fouiller dans l
4 er expressément des conclusions que l’on pourrait citer hors du contexte — accords sans clé — et sur lesquelles, critiques et
5 gence des Parfaits et la vie réelle des Croyants… Citons là-dessus l’un des plus sensibles interprètes modernes de la cortezia
6 et cette abstruse technique psycho-physiologique, citons maintenant quelques chansons de « légers troubadours méridionaux », g
7 une de ces interprétations que je crois utile de citer , car l’origine cathare y transparaît nettement, malgré l’ignorance de
8 tfried était un clerc, qui lisait le français (il cite souvent des vers de Thomas dans son texte), et qui se passionnait pou
9 omplexités de l’hérésie. 40. Cf. Prière cathare, citée par Döllinger. Notons que la liberté de l’homme, le pouvoir de faire
10 adours comme sources d’études sur l’hérésie. Elle cite , à l’appui, des vers de Peire Cardenal qui reproduisent les termes ex
11 . 81. Id., ibid. 82. Je m’excuse de ne pouvoir citer ici que des fragments de chansons — de paroles de chansons ! — souven
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
12 e la plus vive ardeur de son amour. Il y aurait à citer cent pages où revient la même plainte de l’âme sur « l’abandon divin,
13 , non la catastrophe de ce monde. D’ailleurs Otto cite un passage d’Eckhart où il est question non plus d’union mais bien d’
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
14 en filigrane à travers ces symboles. Cervantès ne cite point les très nombreux romans de « chevalerie célestielle » qu’on li
15  ! » (Il me semble que ces épingles ne sont point citées par hasard : « Amour vous point », disait la rhétorique. Un peu plus
16 t toujours le mythe qui agit. Dans la lettre déjà citée où elle récapitule leurs épreuves, Julie appelle « sainte ardeur » l’
17 rnellement notre nuit nuptiale ! Et l’on devrait citer toutes les œuvres de Tieck, définissant l’amour comme « une maladie d
18 ose… Mais non : « Vingt anecdotes que je pourrais citer montrent partout dans cette Provence une galanterie aimable, spiritue
19 de la justice… » Il finira, bien entendu, par les citer , ces anecdotes. 18.Wagner, ou l’achèvement « Délivré du monde,
20 s celui de Proust.) Parallèlement, il convient de citer le Triomphe de la Mort de d’Annunzio — commentaire admirable de Wagne
21 et passim ! 141. Il connaissait le roman et le cite plusieurs fois. Par exemple dans le Triomphe de l’amour : « Voici ceu
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
22 der Goltz, dans un passage qu’il vaut la peine de citer  : « L’erreur (des généraux « formalistes ») consistait à placer l’obj