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demeure bien certaine : les mythes qu’on vient de
citer
, relativement récents dans leur expression culturelle, sont très larg
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il, d’Henry Miller et de Lawrence Durell, pour ne
citer
que très peu de noms des plus connus ; sans oublier la fameuse « Hist
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que le Don Juan mangeur de pommes, qu’on vient de
citer
, reste un peu court. Il n’accédera jamais à l’érotisme, qui est dépas
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el que soit le niveau de la vie considéré ? Je ne
citerai
— et en passant — qu’un seul exemple d’application de cette même dial
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sont un curieux exemple de refoulement. J. Delay
cite
en effet plusieurs phrases telles que celle-ci (tirée du journal manu
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l’influence qu’on lui attribue sur Rilke, Kassner
cite
de nouveau la phrase de ses Proverbes du yogi : « Le chemin de l’inté
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i importante pour lui, le ramène à Rilke, dont il
cite
ce vers : Si le boire te semble amer, deviens Vin. Ici, dit-il, plus
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e vous traverser ! » Mais je n’en finirais pas de
citer
tantôt Kassner, tantôt les maîtres du zen, au risque de confondre leu
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(Ce qui est chrétien.) Le même Chang Chen-Chi qui
cite
ce koan : Parfois, j’arrache la personne mais sauve l’objet. Parfois
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l le personnalisme essentiel de ces doctrines109,
citons
ce verset du Coran (24-41) qui pose comme une clef musicale : « Chaqu
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vécue. — Dans le roman de Raja Rao qu’on vient de
citer
, cette sentence d’un upanishad reparaît à plusieurs reprises : En vé
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ille Dans sa Jeunesse d’André Gide, Jean Delay
cite
une lettre inédite qu’adressait le fameux économiste Charles Gide à s
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Tu aimes beaucoup, dans André Walter du moins, à
citer
l’Évangile. Or, l’Évangile dit : « Les impudiques n’entreront point d