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aniste, Genève, juillet–août 1982, p. 1 et 3. n.
Cité
dans Denis de Rougemont / Groupe Cadmos, Rapport au peuple européen s
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Un écrivain au service de la
cité
(24 octobre 1982)o p Denis de Rougemont, dans quelles circonstance
3
is de, « [Entretien] Un écrivain au service de la
cité
», Tribune de Lausanne — Le Matin, Lausanne, 24 octobre 1982, p. 6.
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’écrivain dont le génie s’exerce au service de la
cité
, non comme tant de taupes insidieuses de la critique érigée en systèm
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uctrice du sol, vers un retour à la terre et à la
cité
normale. Encore une fois, je m’en voudrais d’apporter des réponses to
6
ons de l’Empire romain, philosophie grecque de la
cité
, Écritures judéo-chrétiennes. Mais il faut y ajouter les valeurs germ
7
n phénomène important. Il cite Longo Maï que j’ai
cité
dans mon livre. Il ajoute : « Mais je ne crois pas qu’il y ait là une
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ration et de celle des grands aînés que vous avez
cités
. Est-ce à vos yeux décourageant ? Il est certain que les écrivains, l
9
e nous sommes par des gains immédiats. Je vous ai
cité
des chiffres effarants sur le chômage que nous prépare l’informatisat
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puissance collective de la tribu, du clan, de la
cité
, du roi, puis de l’État moderne ; et la liberté des citoyens, des gro
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biblique des Proverbes 6 en deux versets que j’ai
cités
dans une réédition récente de La Part du diable . Les voici : Ne ré
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evue Europe, dirigée par Jean Guéhenno (dont j’ai
cité
tout à l’heure la lettre à Romain Rolland qui nous qualifie de fascis
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ormule européenne : le sens de ce qui est dû à la
cité
. En dépit de sa méfiance justifiée à l’endroit de l’engagement tel qu
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i, parfois ingrate, mais sans conteste utile à la
cité
— dont elle illustre et renouvelle en notre temps la vocation. Enfin,
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u rôle indispensable de l’agora dans la vie d’une
cité
, et il a décrit les dispositions architecturales typiques de la place
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er, à ce propos, que le pacte du « Grütli », déjà
cité
, unissait des communes frontières de Schwyz, Uri et Unterwald, et que
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oupements très variés de communes, de vallées, de
cités
et, plus tard, de cantons, en un système de Ligues ou de Confédératio
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ès le haut Moyen Âge et jusqu’au xxe siècle, des
cités
de la Toscane et de l’Ombrie à celles des Flandres et du Rhin, de Bol
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ps savants d’Europe, n’accepte d’ailleurs dans sa
cité
qu’une charge mineure de scrutateur du Sénat. C’est de Zurich que l’«
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En revanche, la plupart des grands noms que j’ai
cités
ne seraient guère pensables hors du complexe suisse. Et c’est à eux q
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et le mal dont il est question est intégralement
cité
dans Vingt-huit siècles d’Europe (Paris : Payot, 1961), p. 302-303.
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Beethoven, Stendhal, Henri Heine, Schopenhauer ».
Cité
dans Vingt-huit siècles d’Europe, p. 302. Traduction anglaise : The
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, l’idéal de Calvin du même coup, et le modèle de
cité
idéale que Rousseau devait reprendre en l’appliquant aux citoyens de
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a vocation, mais responsable de l’exercer dans la
cité
, par là même relié à la communauté, et même plus : créateur de cette
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onséquences. Comme par exemple cet article — déjà
cité
— sur l’entrée d’Hitler à Paris, écrit en une demi-heure après que mo
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u rôle indispensable de l’agora dans la vie d’une
cité
, et il a décrit les dispositions architecturales typiques de la place
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Politique, Paris, Vrin, 1989. Mumford Lewis, La
Cité
à travers l’histoire, Paris, Seuil, 1964. Platon,Les Lois, in Œuvres
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e aménager eux-mêmes les relations humaines de la
cité
au lieu de n’être que les spectateurs passifs de débats entre politic
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n citoyen, c’est être responsable de la vie de la
cité
. C’est se gouverner soi-même. J’aime beaucoup ce slogan irlandais ou