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nnes, atteint le plateau suisse où il établit ses
cités
lacustres, occupe le bassin de la Seine, et s’aventure même jusqu’en
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tions. 4. W. Technau, Die Göttin auf dem Stier,
cité
par G. de Reynold, Formation de l’Europe, tome I, LUF, Fribourg, 1944
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t celui que nous avons souligné dans le verset 27
cité
: dilatet selon la Vulgate. Japhet signifie latitudo, largeur, expans
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son masculin eurôpos. « Zeus qui voit loin » a sa
cité
divine sur l’Olympe : dans le massif de l’Olympe, le Pénée prend sa s
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t plaques moulées de verre bleu, trouvées dans la
cité
mycénienne de Midea : il semble qu’elle fasse partie d’un rituel de f
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dice de l’Asie ». Voici son texte le plus souvent
cité
à ce sujet : L’Europe deviendra-t-elle ce qu’elle est en réalité, c’
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rie était « le genre humain », non point sa seule
cité
natale. Quoi de plus Européen que cet universalisme ? Mais venons-en
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nent une idée générale. Saint Augustin, dans la
Cité
de Dieu, pense que le monde est partagé en deux moitiés, l’Asie occup
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peuplée de nations puissantes, s’est couverte de
cités
magnifiques, s’est enrichie du butin des deux mondes ; cette étroite
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à, Pépin était le prince de nombreuses régions et
cités
d’Europe. (Il orthographie Eoruppa.) Mais voici le texte capital, qu
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ul. Honorii, Monumenta Germanica AA, X, 239. 30.
Cité
par E. Peterson, Der Monotheismus als politisches Problem, 1935. 31.