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ne montre pas l’homme aux prises avec l’humanité
civilisée
, mais avec la nature la plus sauvage. Comme Les Conquérants, c’est un
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èce d’indifférence monstrueuse se répand chez les
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. Formulée d’abord par les élites citadines, elle revêt l’apparence vi
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traitable, toujours dressé contre les conventions
civilisées
— inoubliable création, ce Norenius ! — qui prend soin d’elle au temp
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traitable, toujours dressé contre les conventions
civilisées
— inoubliable création, ce Norenius ! — qui prend soin d’elle au temp
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ci vaut pour les femmes, qui sont la part la plus
civilisée
de la population. Ce sont elles qui gagnent ce qu’il faut, elles qui
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en louant Sade d’avoir voulu « redonner à l’homme
civilisé
la force de ses instincts primitifs ». Comme si l’instinct primitif n
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ci vaut pour les femmes, qui sont la part la plus
civilisée
de la population. Ce sont elles qui gagnent ce qu’il faut, elles qui
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ession de Burckhardt. La guerre elle-même s’était
civilisée
, dans toute la mesure où le paradoxe est soutenable. Le duel des chef
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e nous sommes, sans le savoir, menons nos vies de
civilisés
dans une confusion proprement insensée de religions jamais tout à fai
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ession de Burckhardt. La guerre elle-même s’était
civilisée
dans toute la mesure où le paradoxe est soutenable. Le duel des chefs
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e nous sommes, sans le savoir, menons nos vies de
civilisés
dans une confusion proprement insensée de religions jamais tout à fai
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ession de Burckhardt. La guerre elle-même s’était
civilisée
dans toute la mesure où le paradoxe est soutenable. Le duel des chefs
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mitifs ». L’étude de la passion dans les sociétés
civilisées
n’a été qu’à peine entamée par des hommes comme Georges Sorel, Gustav
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, tyrannique, etc. alors que les démocraties sont
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, raffinées, pacifiques, prospères, libérales, etc. Bien, chacun sait
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ci vaut pour les femmes, qui sont la part la plus
civilisée
de la population. Ce sont elles qui gagnent ce qu’il faut, elles qui
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tents qui pourraient justifier devant les nations
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une telle mesure. La seule question qui se pose encore est celle de l
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ie quotidienne des deux continents. Il serait peu
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de penser que l’un de ces idéaux tout faits doive exclure l’autre. L’
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és, susceptibles, intolérants, pour tout dire peu
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. Mon objet n’est pas de juger, mais de décrire et d’avertir les candi
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peu trop classique, mais au total remarquablement
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et dignes de leurs traditions. Leurs femmes sont souvent belles, plus
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e, par exemple, que « l’homme primitif et l’homme
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(maintiennent) l’amour sous la tutelle d’une éthique… » Car ce que le
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au goût français, et le réduisent aux dimensions
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du volume à trois francs cinquante broché en jaune. Et j’allais oubli
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être restés barbares, que de nous être aussi mal
civilisés
. La Conférence européenne de la culture faillirait à sa vraie mission
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être restés barbares, que de nous être aussi mal
civilisés
. La Conférence européenne de la culture faillirait à sa vraie mission
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sidère, nous les Européens, comme à moitié ou mal
civilisés
; plus soucieux du passé que de l’avenir ; nihilistes et méchants pou
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l’égard du reste du continent, qui les a pourtant
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; une Allemagne amputée d’un quart de sa population, encombrée de 12
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t elle-même en grand péril. Les peuples qu’elle a
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retournent contre elles les techniques qui avaient assuré sa puissanc
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règues13) qui leur imposent leur premier État, et
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par Byzance, qui les christianise lentement. Rurik, Oleg et Igor, pri
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e nous sommes, sans le savoir, menons nos vies de
civilisés
dans une confusion proprement insensée de religions jamais tout à fai
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devons mettre le communisme au ban de l’humanité
civilisée
. Et cela signifie pratiquement : rompre toutes relations, diplomatiqu
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se et davantage que le Totus orbis terrarum jadis
civilisé
par l’hellénisme. Dès le iiie siècle, la côte indienne du Malabar re
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, responsable de leur condition. Tous les peuples
civilisés
ont connu le phénomène des classes vouées à la misère héréditaire. Ja
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celle d’un continent sans nom, lentement peuplé,
civilisé
et travaillé par des hommes, des idées, et des techniques venus des r
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erre d’Asie et la terre d’en face », le continent
civilisé
et celui qui n’a pas de nom, qui veut un nom et un esprit, et qui va
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de plaines, partout les populations agricoles et
civilisées
y vivent côte à côte avec les populations guerrières, et les première
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les peuples y sont ordinairement doux, honnêtes,
civilisés
et très propres pour les sciences et les arts. Même idée encore, et
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celle d’un continent sans nom, lentement peuplé,
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et travaillé par des hommes, des idées et des techniques venus des ri
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d’Asie et la terre d’en face », le continent déjà
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et celui qui n’a pas de nom, qui veut un nom et un esprit, et qui va
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de plaines, partout les populations agricoles et
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y vivent côte à côte avec les populations guerrières, et les première
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les peuples y sont ordinairement doux, honnêtes,
civilisés
et très propres pour les sciences et les arts.38 Même idée encore,
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ers le concile de Bâle, dans un paysage hautement
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; et le tableau de Pinturicchio qui le montre recevant la couronne de
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s sont les ennemis communs de toutes les sociétés
civilisées
; nous allons examiner si l’Europe peut craindre encore une répétitio
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rend aujourd’hui la forme d’un empire puissant et
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. On voit sur les bords de la Volga, de l’Obi et du Lena, le laboureur
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lle vaisseaux mettraient les restes de la société
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à l’abri de leurs poursuites, et l’Europe renaîtrait et fleurirait en
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raient alors d’être comptés au nombre des nations
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qu’ils auraient soumises.138 Le marquis Antoine de Condorcet (1743-
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s, observée jusqu’à présent chez tous les peuples
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, entre les différentes classes qui composent chacun d’eux ; cette iné
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sont dédiés au bien commun de toutes les nations
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, mais plus particulièrement à celui de la Grande-Bretagne et de la Fr
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lors ne devrions-nous pas penser que les peuples
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(dont chacun forme un État distinct) devraient se hâter de sortir au
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mmettent ces forfaits sont effrayants, et que les
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qui les laissent commettre sont épouvantables. Il est temps qu’il sor
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plus « douée » (begabt), la plus avancée, la plus
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, et la plus mûre pour engendrer l’avenir du genre humain. (On l’eût e
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, quels sont les peuples de l’Asie que nous avons
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? Apparemment les mastodontes et les autres populations fossiles de l
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tangs, injustement dépossédés par la perfidie des
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. Soyons moins absolus ; à côté du droit des morts, admettons pour une
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ont à l’état de nature. Et même parmi les peuples
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, l’histoire n’inclut pas dans son champ ceux dont la culture n’est pa
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enfance, sommeillèrent à côté des grands peuples
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de l’Antiquité, nous ne nous sentons pas moins les descendants de ceu
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Le miracle européen a créé le monde
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(6 juin 1962)k L’avenir de l’Europe est une aventure décisive pour
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s plus folles qu’ait jamais imaginées une société
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: baser le mariage, qui est durée, sur la romance, qui est excitation
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e nous sommes, sans le savoir, menons nos vies de
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dans une confusion proprement insensée de religions jamais tout à fai
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mal gré, seront entraînés la plupart des peuples
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, oubliant leur brillante mais trompeuse civilisation pour retourner à
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réparent, inévitables désormais, les peuples dits
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seront entrainés bon gré mal gré (d’où guerres mondiales) et jetés à
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t elle-même en grand péril. Les peuples qu’elle a
civilisés
retournent contre elle les techniques qui avaient assuré sa puissance
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ferait dire : « Nous sommes les seuls, les vrais
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», et une tentation d’infériorité qui nous ferait penser : « Tout not
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edoc et de l’Espagne, alors physiquement occupée,
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, administrée (je n’ose pas dire colonisée) par les Arabes. Et tout ce
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a forme politique que tend à revêtit toute nation
civilisée
» (Esmein). Il n’est pas la patrie. Rapportée à l’homme, la patrie n
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t elle-même en grand péril. Les peuples qu’elle a
civilisés
retournent contre elles les techniques qui avaient assuré sa puissanc
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imique — qui est autant dire la fin de l’humanité
civilisée
. Mais puisqu’on ne peut poursuivre et qu’on ne peut pas non plus remo
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utions personnalistes, l’exemple salutaire du bon
civilisé
. 5. André Reszler, L’Intellectuel contre l’Europe, Paris, Presses u
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al » à instaurer ; — elle a colonisé, exploité, «
civilisé
» à sa manière et souvent à leur corps défendant la plupart des peupl
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es surréalistes que « l’homme primitif et l’homme
civilisé
maintiennent l’amour sous la tutelle d’une éthique… ». Car ce que les
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umain ». C’est l’Europe qui a colonisé, exploité,
civilisé
à sa manière et souvent à leur corps défendant la plupart des peuples
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les peuples y sont ordinairement doux, honnêtes,
civilisés
et très propres pour les sciences et les arts [donc la culture]. » En
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vaudrait en fait à l’anéantissement de l’humanité
civilisée
. Même si de telles extrémités ne sont pas atteintes, il est certain q
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nture technique de l’Occident, ou de l’humanité «
civilisée
». C’est ce que me suggère jusqu’à l’angoisse l’exemple de l’automati
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t la fin de l’humanité, en tout cas de l’humanité
civilisée
. Rien n’est plus mobilisant pour des jeunes gens que de s’assurer une
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ur éviter une guerre qui serait la fin des hommes
civilisés
, c’est d’empêcher de nuire ceux qui pourraient la déclencher et qui n
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la terre et de l’univers, du moins de l’humanité
civilisée
, ce serait de trouver une autre forme de communauté humaine que les É