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matérielle, elle est d’abord cette inquiétude du
cœur
et de l’esprit qui naît de la mort des amitiés. Plus angoissante enco
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ndi d’un désespoir qu’il sent vivre dans tous les
cœurs
. L’homme d’aujourd’hui méprise les religions. Il sait ce qu’il faut p
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humaine, le lieu de la pureté, si la « pureté du
cœur
», comme le veut Kierkegaard, c’est le vouloir unique, unifiant l’êtr
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ition. Ils vous diront aussi qu’ils n’ont plus le
cœur
à leur ouvrage, quand ils savent que les résultats sont à la merci so
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Vous avez pu germaniser nos plaines Mais notre
cœur
— vous ne l’aurez jamais ! Dans un article de 1922, il loue cependan
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écarter les conseils de pitié que me dictait mon
cœur
. Signalement de Peter Schlemihl Peter est un naïf : il croit à
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ité paraît se déplacer dans le cerveau ou dans le
cœur
. La pudeur aussitôt affecte la pensée, les sentiments. On parle « d’é
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atin. En effet, Pédenaud, qui a voulu en avoir le
cœur
net, a pris des instructions par téléphone au chef-lieu. Son supérieu
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es ? Ce problème n’est pas gratuit : il touche au
cœur
de la foi réformée. Or c’est lui justement que traite saint Paul au c
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nous lorsque l’Esprit dit : la Parole dans notre
cœur
. Quelle étrange illusion nous ferait croire qu’une décision de l’Éter
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adoxe que Luther n’a pas inventé, mais qui est au
cœur
même de l’Évangile. L’apôtre Paul l’a formulé avant toute « tradition
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difficile parce qu’il est simple. « La pureté du
cœur
, c’est de vouloir une seule chose », écrit-il. Mais cette seule chose