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intérêt très profond : elles nous transportent au
cœur
de préoccupations des plus modernes, problème de la réalité littérair
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ons de petits. Voici naître la révolution dans un
cœur
, puis dans une famille. Et une fois le grand bouleversement accompli
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reste le témoin souvent sceptique ou railleur. Au
cœur
de la crise de notre civilisation, il y a un problème de morale à rés
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orce et le courage de contempler nos corps et nos
cœurs
sans dégoût implorait Baudelaire. Encore avait-il le courage de prie
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sur Proust et sa théorie des « intermittences du
cœur
» dont Fernandez donne une critique décisive. Et c’est justement par
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it été si délicieusement invraisemblable… Mais ce
cœur
fatigué se reprend à souffrir, il ne sait plus de quels souvenirs ; j
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ifs espagnols qui va l’entraîner avec son mauvais
cœur
, dans une aventure incertaine et douloureuse ; enfin Orpha, sa maître
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surdité essentielle » que le Chinois distingue au
cœur
de la vie occidentale apparaît mieux par la comparaison de l’idéal as
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ait plus leur imposer de feindre encore ce que le
cœur
ne ressent plus, il suffit de quelques mois aux jeunes époux de la Ma
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ons où se condense le sentiment du récit. Dans le
Cœur
gros, c’était un parc avant l’orage, le rose sombre d’une joue brûlan
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action, l’aveu d’une fondamentale indifférence du
cœur
qui contraste avec une vie voluptueuse et assez désordonnée. Pourtant
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peut-être l’amour n’est-il possible qu’entre deux
cœurs
que l’épreuve du plaisir n’a pas exténués. Mais alors quelle avidité
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iller l’accord, une patte en l’air, becquètent le
cœur
d’une femme qui va les étrangler doucement. Ces vers sont de jolies f
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Pierre Girard, Connaissez mieux le
cœur
des femmes (juillet 1927)am Quand vous avez fermé ce petit livre,
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on. » am. « Pierre Girard : Connaissez mieux le
cœur
des femmes (Simon Kra, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de
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nelle « stratégie littéraire », de gazetiers ; au
cœur
de ces sujets qui paraît-il, ne sont pas d’actualité : la solitude, l
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veut sans issues : l’angoisse que fait naître au
cœur
du monde contemporain l’absurdité de ses ambitions. Écoutons Garine,
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sens. « Reste immobile et sache attendre que ton
cœur
se détache de toi comme une lourde pierre. » Le corps, que l’âme quit
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qui part pour la Hongrie sans talisman, s’il a du
cœur
, n’en revient plus. 15. La plaine et la musique L’ouverture de
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manque : touchantes annexions, pieux mensonges du
cœur
qui traduisent, à tout prendre, une vérité particulière plus importan