1 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
1 ie découpée en blanc sur fond noir et portant, en cœur noir, la nouvelle… « Savez-vous qu’on nous a pris les deux tiers de n
2 s de glace qui descendent lentement le fleuve. Au cœur de Prophète chauve s’élève la montagne de pierre de St-Gellert. Elle
2 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
3 ta Berling : mais une sobriété qui vous saisit le cœur , à chaque page. Toute une vie de femme se déroule sur un rythme large
3 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
4 re, un exercice de l’âme, de l’intelligence et du cœur . Dès lors, les efforts très louables que tentent les éditeurs, ou mêm
5 ir si, d’autre part, le public lui-même n’avait à cœur d’y collaborer. Aussi bien, si j’écris ceci à l’intention d’un de nos
4 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
6 New York, décembre J’étais à Times Square, au cœur de Manhattan, le soir de l’élection présidentielle. À neuf heures, no
5 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
7 es, d’un cap médiocre en dimensions physiques, le cœur et le cerveau de l’humanité : notre culture, cette civilisation que r
6 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
8 nc point de veto, les Tories disent non d’un seul cœur , dans la même langue que le chancelier du Lancaster. Opposés en tout,
7 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
9 unie n’est pas un grand espoir renaissant dans le cœur des masses, aucune armée du monde ne pourra la défendre. Personne ne
8 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
10 « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur  » (9-10 novembre 1963)w Descartes estimait qu’un athée ne pourrait
11 squ’alors, au Dieu immanent qui s’annonce en leur cœur  ». Sur une telle phrase, on imagine d’admirables disputations ! On vo
12 pour Ansermet, précisément le « Dieu sensible au cœur  », saisi dans la conscience par l’affectivité, et par elle seule ! La
13 s. w. « “Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur ” », Journal de Genève, Genève, n° 263, 9-10 novembre 1963, p. III (su
9 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Mes amis et Nerval (9 octobre 1982)
14 étais aperçu à ma honte que je ne savais plus par cœur les sonnets des Chimères : c’est réparé. ag. « Mes amis et Nerval »