1 d’un massif central de sapins et de lacs secrets, cœur noir et tourmenté du continent —, cette région escarpée entre Munich,

2 désirs sans fin, et qui n’ont de réalité qu’en un cœur , lorsqu’il aime1 ? Tout devenait incompréhensible et certain, l’amour

3 s irons avec ce qu’il restera de bonté dans notre cœur , plus inutile que jamais, dominatrice et bafouée. (Chevreuse, 1932)

4 ées. Mais quelle approche me saisit ? Parfois, au cœur des grandes fêtes, une sphère de silence descend, s’arrête quelques s

5 qui part pour la Hongrie sans talisman, s’il a du cœur , n’en revient plus. xv La plaine et la musique L’ouverture de

6 manque : touchantes annexions, pieux mensonges du cœur qui traduisent, à tout prendre, une vérité particulière plus importan

7 rivière, des forêts. Les rues sont vides jusqu’au cœur de la ville, où l’attend une ample demeure. Et maintenant le chien s’

8 « Ô crépuscule adolescent, disais-je, chasseur au cœur battant, que poursuis-tu dans le mystère des orées d’ombre ? » Et l’o

9 rmi les troncs qui luisaient, faiblement, vers le cœur profond du bois. Et je croyais m’enfoncer et me perdre dans le silenc

10 vre une jubilation bonhomique qui commence par le cœur et se contente de ralentir doucement les idées. C’est un attendrissem

11 ndre à leur hostilité, comment accueillir avec un cœur viril et bon le spectacle de ces corps amaigris, énervés ? Un cœur vi

12 le spectacle de ces corps amaigris, énervés ? Un cœur viril et bon comme celui d’Andersen, un tel cœur ne se fermerait pas

13 cœur viril et bon comme celui d’Andersen, un tel cœur ne se fermerait pas devant la haine qui sourd de tant d’anxiétés. J’a

14 t… La fumée des cigares lui fait peut-être mal au cœur , et aussi la curiosité sournoise des ouvriers, des deux femmes qui ex

15 ai tous aimés. Et j’ai compris que la grandeur du cœur humain, c’est de donner sans mesure un amour dont notre vie, peut-êtr

16 milieu social ? Qu’il vous laisse la franchise du cœur . Ici, l’on vous aime plus naïvement qu’ailleurs. On ne vous cache pas