1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 acrifice. Bien plus, il porte la contradiction au cœur de l’Être et la traduit dans l’énoncé de ses dogmes fondamentaux : la
2 éma, les magazines féminins et leurs courriers du cœur . Je constaterai maintenant que cette passion qui tient une telle plac
3 ologiques (personnalité double, intermittences du cœur , érotisme, dissolution de la personne) au xxe siècle. d) Les écoles.
4 e de l’éducation que la diastole et la systole du cœur à la circulation sanguine, ou que l’attraction et la répulsion à l’an
5 omme une période bénie d’unité des esprits et des cœurs , telle que l’a décrite Novalis : nous savons aujourd’hui qu’il n’en f
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
6 unions plus vastes, qui est le battement même du cœur d’un régime sain, j’entends immunisé contre le virus totalitaire. Mai
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
7 s nationaux n’apparaissent qu’après tout cela, au cœur du Moyen Âge, et se forment aux dépens de l’empire et de la papauté,
8 de sa paroisse et quels sont les paysages de son cœur . Et nul n’exige que tout cela soit inscrit dans les limites peintes e
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
9 ommunauté économique sondaient vos esprits et vos cœurs . Ils vous demandaient si vous vouliez l’Europe unie. Les deux tiers d
10 mieux se retrouver. Tout d’un coup, nous voici au cœur d’une ville surgie à la hauteur des frondaisons, et dans ses rues s’e
11 PNB, ou au mode de vie existentiel, « sensible au cœur  » ? Où trouver aujourd’hui une bonne critique du niveau de vie ? Dans