1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 i qu’il joignait à son monogramme, enguirlandé au coin de ses tableaux ; ce sera l’arme réelle du guerrier suisse, signe des
2 rd que j’oubliais de citer sa devise, inscrite au coin de quelques-uns de ses dessins : N. K. A. W., ce qui veut dire : « Pe
2 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
3 e de campagne primitive ne subsiste, plus un seul coin de terre à nu, et plus une ligne indécise, ni d’eau qui court, ni de
3 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
4 ar la foule, et les adieux sur l’avant-pont, seul coin désert, entre des paquets de cordage ; et ce départ enfin vers le sil
5 plats énormes ? (dont je ne prenais dans un petit coin qu’à peine dix centimètres cubes). — Ah ! me dit-il, si Monsieur ava
4 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
6 x, je cours dîner pour 50 cents à la cafétéria du coin . 2 mars 1942 Ou écrire, ou sortir. — Après trois jours et nuit
5 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
7 d appartement de deux étages sur l’East River, au coin de Beekman Place et de la 51e rue. De ma terrasse vertigineuse, je do
6 1946, Journal des deux mondes. Virginie
8 renversées dans les branchages — nous arrivons au coin d’un bâtiment de ferme. C’est le chenil. Le parc s’arrête ici, et s’o
7 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
9 et ses meubles sur le trottoir et le revendeur du coin vient les enlever. Pour le nouveau logis, on rachète sur place un lég
10 éral est réfuté par la vision à bout portant d’un coin de pays ou d’une scène de famille, d’un geste intime ou d’un visage b