1 e sur les communes forestières qui commandent les cols des Alpes, il serait enfin le maître et l’unificateur de l’ancien ter

2 route traversant le Saint-Gothard : c’est le seul col qui relie d’un seul trait les deux moitiés du Saint-Empire, des plain

3 ues. Lieu de passage, mais aussi lieu de sources, col impérial et naissance des fleuves les plus prestigieux de l’Europe. O

4 au d’eau. À peine distantes de quelques lieues du col  : source du Rhin, source du Rhône, sources de l’Inn et du Tessin, aff

5 iable. Vers l’est et vers l’ouest deux routes de col commencent la vallée du Rhin par l’Oberalp qui conduit aux Grisons rh

6 i, c’est une longue vallée où descend la route du col , longeant ou enjambant la Reuss, vers le lac qu’on nomme aujourd’hui

7 affranchies pour assurer la liberté de passage du col ont partie liée contre les Habsbourg, lesquels s’efforcent méthodique

8 reffiers et notaires qui venaient d’Italie par le col du Gothard, et qui savaient rédiger les traités à la manière des ligu

9 à celles des villes libres, et c’est aussi par le col du Gothard que l’esprit des communes urbaines est venu féconder leur

10 f au xiiie siècle, mais c’est le rôle positif du col du Saint-Gothard qui explique les libertés des Waldstätten. Et l’on v

11 darme, un personnage vêtu d’un sévère uniforme au col bordé de perles blanches mordant sur l’encolure bien rasée entrait, c

12 m’arrête, fasciné. Un vieux monsieur en noir, au col rond, dur et haut, ce doit être un évêque anglican, somnole. En face

13 fédération des Waldstätten est née du Gothard, ce col n’est devenu viable et carrossable qu’au moment où le pont du diable

14 ent décidé d’interdire à tout le monde l’accès au col du Saint-Gothard sous prétexte qu’ils étaient chargés de le garder. L

15 ent reçu l’immédiateté impériale pour défendre le col du Gothard au nom de la communauté européenne du Saint-Empire, de mêm

16 hiques avec le motif historique de l’ouverture du col du Saint-Gothard (Die Urschweizer Befreiungstradition), de nouveaux h