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tre vocation, et moins pour édifier une puissance
collective
que pour vivre nos libertés. Ce n’est pas, ou ce n’est plus une quest
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mplémentaires ayant pour fin non pas la puissance
collective
, mais la plus grande liberté des personnes. Si vous ouvrez maintenant
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urs conseils et leurs ligues, et leurs propriétés
collectives
, qui ne doivent rien au droit romain. b) La chevalerie, forme des pl
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tradition, dans les livres et dans l’inconscient
collectif
. Elles agissent toutes, sans exception, dans la vie des hommes d’aujo
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dès cette vie-ci, sera « rééduqué » pour l’avenir
collectif
. Nous voyons au contraire l’homme d’Europe chercher la singularité, l
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t de l’homme, non point de l’observance des rites
collectifs
, mais de la conversion personnelle. La question du sens de nos vies,
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aussi par extension plus ou moins abusive au plan
collectif
. Ces valeurs, ces activités, seraient proprement inconcevables sans l
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t bientôt elle ira se lier à l’idée de contrainte
collective
, négation même de son mouvement originel. D’où nous vient, en effet,
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bien et en mal, s’annule. La croyance au progrès
collectif
demeure un pur et simple acte de foi, devant lequel il est permis de
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individu (celui-ci certes utilise des instruments
collectifs
, transpersonnels : langue, traditions, croyances du milieu, etc., mai
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olution millénaire allant du sacré au profane, du
collectif
religieux-social à l’individualisme, de l’autorité indiscutée à la li
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des revendications haineuses et délirantes. Forme
collective
de l’orgueil, antichrétienne par essence, condamnée nommément par le
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leur liberté personnelle et concrète à sa liberté
collective
et abstraite, qu’il nomme indépendance nationale. Le nationalisme a r
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décider si notre union aura pour but la puissance
collective
ou la liberté des personnes. Il nous faut le décider, en toute consci
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mmunautés autonomes valent mieux que la puissance
collective
. L’Europe unie sera seule capable de réaliser leur vision. On me dira
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ecte », le banditisme individuel et sa traduction
collective
en « régimes d’ordre ». Chaos social quadrillé par la police, ou rég