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uent et représentent un vrai corps, communauté ou
Collège
; que, ces cinq ans de l’Assemblée de Bâle une fois écoulés, cette mê
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e la chrétienté en soyons les membres ; que ledit
Collège
ait aussi sur nous tous, sur nos sujets et sur ceux qui l’auront pror
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t et concernent en quelque manière que ce soit un
Collège
légal et légitime. Et afin que chaque pays conserve intacts ses propr
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une voix dans l’Assemblée, dans son corps et son
Collège
; mais si, entre les ambassadeurs des rois et princes d’une seule et