1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
1 ue ». (On entend : des mécènes, une fondation, un comité , une organisation plus ou moins officielle ou privée.) Ceci dans une
2 son objet, il fait ses comptes et son rapport au comité , qui se décide objectivement, et qui se trompe une fois sur deux. Il
3 sente ainsi aux yeux des Américains.) J’ai vu des comités , placés devant le choix de plusieurs thèmes d’activité, retenir celui
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
4 on inaugurale de Denis de Rougemont, président du comité exécutif du Congrès pour la liberté de la culture. Preuves publiera
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
5 Europe : «  En 1952, la délégation britannique au Comité des experts culturels du Conseil de l’Europe présentait un mémorandum
6 ministres. Au cours d’une session ultérieure, le Comité des experts culturels a décidé d’étendre la portée de ces discussions
7 Des observateurs de l’Assemblée consultative, du Comité des délégués des ministres, du Comité des experts culturels, de l’Une
8 ltative, du Comité des délégués des ministres, du Comité des experts culturels, de l’Unesco et de l’Organisation du traité de
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
9 trôle de la Bombe est une absurdité. On nomme des Comités pour la retenir ! C’est comme si tout d’un coup on se jetait sur une
5 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
10 ection collégiale grandit pas à pas. Prenez notre Comité central et notre Commission de contrôle. Ils forment ensemble un cent
6 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
11 n de la fraction radicale valoisienne « réunie en Comité Cadillac » — ô les grands jours de la IIIe et de la IVe République !
7 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
12 r avec les lettres, brouillons, procès-verbaux de comités , etc., rassemblés à Genève au Centre européen de la culture. Ce qu’il
13 r les formes nouvelles d’une Europe fédérale. Des comités permanents s’occuperaient des problèmes politiques, sociaux, économiq
14 F (Brugmans, Silva, Voisin) et constituaient un «  comité de liaison international des mouvements pour l’unité européenne ». Le
15 rugmans rendait compte de cette réunion devant le comité central de l’UEF. Le procès-verbal que j’ai sous les yeux permet de r
16 laborer. Or, Sandys ayant exigé et obtenu que son comité anglais et le comité français aient chacun une voix, tout comme la Li
17 yant exigé et obtenu que son comité anglais et le comité français aient chacun une voix, tout comme la Ligue économique et l’U
18 Haye, et que les délégués soient choisis par des Comités nationaux, sans droit de veto du Comité de liaison. Dans la discussio
19 par des Comités nationaux, sans droit de veto du Comité de liaison. Dans la discussion qui suit, on sent fort bien qu’en chac
20 nt fort bien qu’en chacun des dix-huit membres du comité central qui s’expriment (sur vingt présents), s’affrontent les mêmes
21 conscients de leurs vraies forces, les membres du comité central de l’UEF aient décidé ce jour-là d’annoncer leur rupture écla
22 convocation des états généraux de l’Europe : les comités d’anciens ministres et d’économistes menacés de perdre l’audience des
23 on d’un noyau de gouvernement européen. Mais le «  Comité de liaison des mouvements pour l’Europe unie » fixa comme objectifs a
24 tes et les objectifs unionistes. Dira-t-on que le comité de liaison se rapprochait du « possible », c’est-à-dire de ce que l’o
25 2° Afin de prouver qu’il partageait cette vue, le comité de liaison devait charger la commission culturelle de rédiger le préa
26 re, pour faire marcher la campagne)157. » Lors du comité du 8 avril, à Paris, il fut décidé subitement que le texte appelé jus
27 être important, restait à obtenir l’imprimatur du comité pour le rapport culturel, le rapport politique et économique étant dé
28 erait à proposer au Congrès, mais sans préavis du comité de liaison, les trois documents polycopiés… Je sentais qu’au-delà de
29 ue « notre devoir est de constituer nous-mêmes un comité compétent pour continuer l’œuvre du Congrès ». Le jeune colonel d’avi
30 discuté pendant deux mois, et mis au point par le comité de liaison à la veille même du congrès, avait été imprimé en haut d’u