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it qu’achever le processus de dissolution sociale
commencé
par l’individualisme. L’individu s’était abstrait du groupe naturel ;
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s bien compris pourquoi les peuples, tout à coup,
commençaient
à se lancer des tonnes d’acier sur la tête, au lieu de discuter série
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quotidien. Et après tout, cela est juste, si l’on
commence
par admettre que la pensée est impuissante sur les lois fatales de l’
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r lieu, de notre état d’esprit. S’il change, tout
commence
à changer. S’il ne change pas, toutes les réformes matérielles sont i
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? Dans le temps, dans le monde du péché, tout
commence
par la nécessité, et tend à nous y enfermer. Dans le monde de l’espri
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qui tient ensemble ces pays35. La crise réelle ne
commencera
qu’au jour où ce sentiment sera dit, traduit en lois, et par là même
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’est évident, puisque le fédéralisme véritable ne
commence
qu’au-delà de leur opposition. Ils se font un programme de ce qui ne
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moment de son histoire. Or ce qui est éternel ne
commence
pas à un certain moment, en 1648 ou en 1815 par exemple. Tout ce qui
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ment, en 1648 ou en 1815 par exemple. Tout ce qui
commence
à un certain moment, dans l’histoire, cessera aussi nécessairement à