1 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
1 it qu’achever le processus de dissolution sociale commencé par l’individualisme. L’individu s’était abstrait du groupe naturel ;
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
2 s bien compris pourquoi les peuples, tout à coup, commençaient à se lancer des tonnes d’acier sur la tête, au lieu de discuter série
3 quotidien. Et après tout, cela est juste, si l’on commence par admettre que la pensée est impuissante sur les lois fatales de l’
4 r lieu, de notre état d’esprit. S’il change, tout commence à changer. S’il ne change pas, toutes les réformes matérielles sont i
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
5  ? Dans le temps, dans le monde du péché, tout commence par la nécessité, et tend à nous y enfermer. Dans le monde de l’espri
6 qui tient ensemble ces pays35. La crise réelle ne commencera qu’au jour où ce sentiment sera dit, traduit en lois, et par là même
4 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
7 ’est évident, puisque le fédéralisme véritable ne commence qu’au-delà de leur opposition. Ils se font un programme de ce qui ne
8 moment de son histoire. Or ce qui est éternel ne commence pas à un certain moment, en 1648 ou en 1815 par exemple. Tout ce qui
9 ment, en 1648 ou en 1815 par exemple. Tout ce qui commence à un certain moment, dans l’histoire, cessera aussi nécessairement à