1 ncore un problème de la poule et de l’œuf — qui a commencé  ? Ce serait cela si les mythes n’étaient que poésie, c’est-à-dire inv

2 sonnement dont je rappelle le schéma : l’érotisme commence où l’émotion sexuelle devient, au-delà de sa fin procréatrice, une fi

3 son sommeil. Au matin, c’est elle qui le séduit ! Commence la longue fuite du beau-père et de la fille, traqués par leur secrète

4 converse avec sa sœur Agathe, dont il sent qu’il commence à l’aimer, et lui raconte, sans trop savoir pourquoi, ce souvenir : «

5 ilise interdits et tabous qu’au moment où ceux-ci commencent à faiblir, où les violer est encore scandaleux mais n’entraîne pas la

6 que, personne ne l’écouterait. Il faut donc qu’il commence par séduire le public, qu’il le force à devenir attentif, toutefois s

7 aisir qui parle ainsi. La volupté du vrai sensuel commence au-delà de ces moments que Don Juan fuit à peine atteints. Faudra-t-i

8 t, à parler proprement, des instincts. L’érotisme commence précisément avec l’usage non instinctif du sexe (j’entends l’usage no

9 ieux de relever que Nietzsche, comme Kierkegaard, commence sa carrière d’auteur par un ouvrage sur la musique, la tragédie lyriq

10 l doute qu’il les ait reconnus.) La fête tragique commence , l’excitation grandit, l’orchestre multiplie les appels au plaisir. (

11 ; il y a du zen, en fait, dans tous mes écrits, à commencer par cette « Morale de la musique » qui aujourd’hui, à cause de cela,

12 plus là. Mais j’imagine que ses Propos, que l’on commence à publier, vont apporter des éléments sans prix pour le Grand Œuvre d

13 ue l’invisible sera vu. Quand tu le sais, l’amour commence , l’amour a déjà commencé, car c’est lui qui le sait dans toi. À la qu

14 uand tu le sais, l’amour commence, l’amour a déjà commencé , car c’est lui qui le sait dans toi. À la question fondamentale que p