1 é » dans la mesure exacte où l’on estimera que je commets un « sacrilège » en tentant de l’analyser. Certes, ce reproche de sac

2 onneur, tout en expiant l’erreur fatale qu’elle a commise . Cependant des barons « félons » dénoncent au roi l’amour de Tristan

3 assent en Toscane à des actes énormes ni qu’il se commît jamais parmi eux, surtout entre hommes et femmes (?), des excès sensu

4 vères une chose apprise : d’où les erreurs qu’ils commirent bien souvent. Il est d’ailleurs extrêmement délicat de préciser les c

5 eprésentait justement le péché que vous veniez de commettre . »83 Libre après cela aux historiens de la littérature de parler d’a

6 rançon du péché. L’ascèse qui rachètera la faute commise doit aussi et surtout délivrer l’homme du fait même d’être né dans ce

7 on ne voit pas comment l’instinct se déciderait à commettre l’erreur nécessaire à cette opération rusée. (L’instinct seul, livré

8 ises furent peu de chose en comparaison de celles commises un peu plus tard par les Espagnols « chez lesquels peut-être un appor

9 autrement qu’à partir du xiie siècle, celui qui commet l’adultère devienne soudain un personnage intéressant ? Le roi David

10 ge intéressant ? Le roi David en volant Bethsabée commet un crime et se rend méprisable. Mais Tristan, s’il enlève Iseut, vit

11 e et du danger qu’elle fait courir à celui qui la commet . Tandis que du point de vue des vrais cathares, nous l’avons vu, la v