1 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
1 é difficile de persister après le réquisitoire du Commissaire du gouvernement. Non pas que ses arguments fussent bien neufs, ni mêm
2 in est coupable de l’avoir accepté. » Sur quoi le commissaire du gouvernement croit pouvoir remarquer « que l’on n’est pas ici pour
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
3 tions. L’accord parfait des « vues » de nos deux commissaires me remplit d’aise. Mais je goûtai surtout que le romancier se montrât
4 ds simplement que dans l’action et les écrits des commissaires susnommés, l’utilitarisme grossier trouve une espèce de justification
5 e son triomphe universel. Professeurs, députés ou commissaires , ils croient tous tant qu’ils sont que l’esprit est une espèce de lux
6  diffusera » seront aussi peu de l’esprit que nos commissaires sont de bons écrivains. IV. Le spiritualisme consacre le préjugé u
7 ici une possibilité de repêchage du projet de nos commissaires . Voici donc mon contre-projet, sous forme de résolution. Article uni
8 le désordre établi. On imagine difficilement nos commissaires inaugurant ces assises subversives, ces états généraux de la culture.
3 1937, Esprit, articles (1932–1962). Jacques Benoist-Méchin, Histoire de l’armée allemande depuis l’armistice (mars 1937)
9 s révoltes ouvrières et séparatistes, — et Noske, commissaire du peuple devenu ministre de la Guerre, figure classique du marxiste