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t animal, et soumis à la forme des choses, — à la
commune
dégradation. Ceux qui ne croient pas à l’acte, c’est qu’ils ne connai
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a partie comme il le peut, sans souci de la règle
commune
, et la terreur domine cette anarchie, distribuant des condamnations d
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e sens des fins vienne à faiblir et que la mesure
commune
cesse d’être effectivement perçue et observée, l’on assiste à la même
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e l’homme qu’il séduit et qu’il trompe. Cette fin
commune
, cet idéal commun que nous devions servir ensemble dans la fraternité
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uit et qu’il trompe. Cette fin commune, cet idéal
commun
que nous devions servir ensemble dans la fraternité que crée l’œuvre
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ormisme enthousiaste qui tient lieu de conscience
commune
aux grandes masses européennes, quel que soit leur régime politique.
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e d’opposer très nettement les uns aux autres, un
commun
dénominateur d’erreur, que nous ne pourrions définir qu’en sortant du
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le pragmatisme, etc., un ensemble de suppositions
communes
qui nous paraissent renfermer la véritable raison de rejeter l’un et
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s des membres actifs, qui participent à une œuvre
commune
, dans le cadre du Club privé dont ils acceptent les statuts. Il faut
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presse », à défendre les principes qui leur sont
communs
: primauté de la personne humaine, respect de la vérité et lutte cont
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e tant sur le sens des mots et sur leur acception
commune
, se trouve ruinée par la politique. Et que la politique, qui a tourné
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limité, éduqué, instruit au sein des conventions
communes
. Un chacun peut en être, et juger comme il veut. Le droit de se tromp
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rété la Convention. Bref, il n’est plus de mesure
commune
: ni l’Église, ni la Culture, ni l’École qui prétend les remplacer, n
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s lois régionales pour la viticulture ; mettre en
commun
les terres d’un petit village ; vendre le vin du pays dans les épicer
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exige même de ces gens-là des vertus au-dessus du
commun
, la révélation de secrets qui suffiraient à rendre heureux les plus i
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e, ou adversaires du christianisme, tous, dans un
commun
accord, enseignaient ou laissaient entendre, par leur attitude pratiq
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ffre certes d’autres exemples assez grandioses de
communes
mesures rigoureuses. (Inde ancienne, Grèce de Périclès, Rome des Césa
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toute pensée. Vraie mesure donc, et parfaitement
commune
. On porte l’Arche au-devant des armées, dans la guerre, comme le symb
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res peuples, non seulement entre les personnes du
commun
qui disent chacun au hasard ce qui leur vient dans l’esprit ; mais en
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rogressivement désunis, puis coupés de toute base
commune
, en viennent à ne plus même pouvoir communiquer, ni s’animer les uns
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une langue singulière au mépris de tout « sens »
commun
, et convoquant enfin, à grands frais d’inventions, la vieille malédic
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65. Sur l’importance capitale de cette notion de
commune
mesure pour toute culture ou civilisation, j’ai donné de plus amples
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aurait donné au peuple l’expression légale de sa
commune
mesure : le Décalogue. Ainsi la fin crée ses moyens. Cette hypothèse