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ostes, statistiques économiques ; fournissant aux
communes
et aux entreprises privées certains crédits et la main-d’œuvre indiff
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ant au gouvernement proprement dit, émanation des
communes
fédérées et des patries locales, et seule expression unitaire de la N
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me de minimum vital distribué par l’entremise des
communes
. Ainsi serait évitée la collusion des puissances financières avec le
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e « paix ». Il n’y a de liberté possible pour les
communes
et les personnes que sur la base d’une organisation rationnelle des s
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s cols pour les nations, gardienne de la doctrine
commune
à tous les peuples, elle n’a pas d’autre rôle ni d’autre vocation. El
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qui tienne rassemblés nos cantons, et de l’idéal
commun
qui nous a fédérés. Jamais, depuis le xiiie siècle, nous n’avons enc
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de l’hitlérisme ? Il y a certainement une source
commune
à Hitler et aux romantiques allemands ; il y a certainement une analo
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la tribu, est lié par le lien du sang, des morts
communs
, et par celui de la terreur sacrée. C’est autour d’un tabou et autour
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ng, la famille — la cité est fondée sur l’intérêt
commun
et les contrats. Alors que la morale de la tribu dicte des devoirs sa
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tes du passé, ni sur des lois, mais sur l’attente
commune
et enthousiaste d’un au-delà libérateur. Ce n’est plus le rêve du ret
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sont pas fondées sur le passé ni sur des origines
communes
. « Il n’y a plus ni Juif ni Grec », écrit saint Paul. Elles ne tienne
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n fédérative du Royaume, avec large autonomie des
communes
à la base, et au sommet, contrôle du pouvoir royal par un organe plus
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édéralisme : la liberté de chacun dans une action
commune
, l’équilibre vivant des tons complémentaires, l’union dans la diversi
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souligner ce soir, ce sont deux traits évidemment
communs
à ces régimes : leur opposition brutale au christianisme, dès qu’ils
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aucoup de points, écrit-il, elles offrent ceci de
commun
qu’elles souffrent toutes les deux d’un manque évident et permanent d
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phénomène de piraterie sociale, de mépris du bien
commun
, phénomène typiquement individualiste. Un dernier exemple vous fera s
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llande. Nous échangeons des nouvelles de nos amis
communs
d’Argentine, d’Angleterre, d’Autriche, de Roumanie : la plupart vont
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— ceux qui fondent sur nous aujourd’hui. Quoi de
commun
entre un Burckhardt, un Kierkegaard, un Vinet ou un Nietzsche ? Rien,
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exemple à l’Europe. C’est l’esprit de liberté des
communes
du Gothard (nous dirions aujourd’hui l’esprit de coopération, de synd
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re union. Or, pour s’unir, il faut d’abord un but
commun
. Il faut ensuite sacrifier à ce but ses intérêts particuliers, ses pr
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ses préjugés, et son confort. C’est tout. Le but
commun
ne fut jamais plus clair. C’est le maintien et la rénovation de la Su
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enance politique vient à s’épanouir dans l’amitié
commune
, alors un peuple atteint ce qu’il y a de plus haut. ac. « Henri le