1
tout cela et avançons ! La claire vision d’un but
commun
et d’un péril qui se désigne lui-même comme total (ou totalitaire) do
2
de la vie nationale qu’en Suisse. Depuis que les
communes
suisses se libérèrent pour la première fois de la domination médiéval
3
tive, etc. et se réduit théoriquement à la raison
commune
, il arrive que les facultés exilées dans son inconscient se révoltent
4
r est un monstre avec lequel nous n’avons rien de
commun
. Il s’agit de le détruire avant toute autre tâche. Point de vue indis
5
ves, qui justifieraient leur utilité pour le bien
commun
. 3) Perfectionnement technique. Nul n’aurait plus intérêt à paralyser
6
la mesure humaine, dans un groupe : entreprise ou
commune
, patrie locale ou cercle invisible d’esprits apparentés dans le monde
7
ers rayonnants de création locale : entreprise et
commune
à la base, librement fédérées par bassins naturels, par-dessus les fr
8
Dans chaque quartier de grande ville, dans chaque
commune
, des correspondants devaient grouper un auditoire régulier, lui trans
9
ures, — bref, toutes les conventions acceptées en
commun
par les artistes et leur public. Tout cela faisait l’Art, aux grandes
10
s, amateurs et critiques disposaient d’une mesure
commune
avec le créateur. Ils pouvaient estimer la bienfacture d’une œuvre, e
11
e récit en prose, illustration de vérités morales
communes
à l’élite d’une société donnée. Nous avons fait, en quelques lignes,
12
lesse, aucune tricherie. Ses lois sont connues et
communes
: dès Conan Doyle, elles ont pris force contraignante. Ses personnage
13
artiellement souhaitable, mais je ne leur vois de
commun
, à priori, que trois syllabes. Cependant l’on revendique la socialisa