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la liberté qui est en définitive notre vrai bien
commun
. C’est en elle que nous possédons notre unité la plus profonde. Et c’
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. Si nous cherchons maintenant dans quelle notion
commune
de l’homme et de sa destinée se fonde cette critique alternée de l’in
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s, et que le communisme consiste à tout mettre en
commun
, dans la charité générale. C’est avec tous ces hommes — et pour eux t
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souveraineté absolue au profit d’une constitution
commune
. Dans cette vue, la Suisse moderne serait une sorte de « bon exemple
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s, et que le communisme consiste à tout mettre en
commun
, dans la charité générale… C’est avec tous ces hommes — et pour eux t
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viennent nous dire : tous ces gens, qu’ont-ils de
commun
entre eux ? Quelle unité voyez-vous dans tout cela ? Eh bien, c’est s
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— c’est encore plus simple — tous ces gens ont en
commun
le dégoût et la peur immense de la guerre, et nous voulons pour eux e
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éralisme à tous les étages de la société, dans la
commune
et l’entreprise d’abord, puis à l’échelle nationale, puis au plan eur
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, mais il réveille aussi le sentiment d’un destin
commun
de nos peuples. Enfin, l’indifférence écœurée, l’abandon aux fatalité
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e fait que, si le sentiment d’un destin spirituel
commun
, et l’énergie créatrice des Européens ne sont pas réveillés, les État
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s de culture, et cette éducation d’une conscience
commune
de l’Europe ? La question doit être posée. Elle est d’ailleurs spécif
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ffiront. Entre l’Amérique et nous, qu’y a-t-il de
commun
? Il y a tous les principes fondamentaux de notre civilisation ; il y
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. Tandis qu’entre les Russes et nous, il n’y a en
commun
qu’un mot : le mot démocratie… Pour eux cela signifie dictature. Pour