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ement notre part bien définie dans cette bataille
commune
est un acte de propreté, un acte vital aussi pour notre pensée même ;
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’il faut baser l’union sur quelque chose qui soit
commun
à tous, le problème revient donc à faire comprendre à ces 300 million
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illions d’hommes et de femmes, qu’ils ont tous en
commun
, précisément, leur volonté de rester chacun soi-même à sa façon. Voil
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s entre les hommes d’Europe. Il y a leur héritage
commun
de civilisation, de valeurs spirituelles, de formes politiques, et mê
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sie soviétique et en Asie. Nous avons beaucoup en
commun
, beaucoup plus que nous ne le croyons. Mais nous n’avons rien de plus
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e, exilés dans la transcendance. Il n’y a plus de
commune
mesure entre celui qui pense et ceux qui agissent ; il n’y a donc plu
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, des individualistes à la recherche d’une action
commune
, action conduite à l’étranger, et dont les fins dernières leur import
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’homme qui, malgré tout ou presque tout, leur est
commune
. L’un Anglais et l’autre Français, et bien qu’ayant tous deux vécu le
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’anecdote historique pour en extraire une sagesse
commune
, et pour élever un monument « durable » ou « intangible » à la mémoir
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ortes, il est vrai, mais la prostitution leur est
commune
: ils se prêtent aux plus basses luxures, comme par exemple au narcis
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échoueront aussi, puisque les racines de l’échec
commun
doivent être en moi, — et pourtant, en dépit de la raison, je m’y ess
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’est pas le fait du génie isolé, mais de l’effort
commun
. Pour moi, c’est la multitude des rudes chauffeurs de camion, couvran
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aviation, est une morale collectiviste. (L’effort
commun
qui porte le progrès ; n’être qu’un rouage numéroté ; apprendre à se
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cle dernier, et qu’ils ont deux-mille ans d’usage
commun
d’un héritage que le reste de la Terre jalouse. Ils tirent prétexte d
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i créant les institutions et répandant la sagesse
commune
, la connaissance populaire par transmission orale. L’unité de croyanc
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e entre toutes les classes de la population ; une
commune
mesure existait entre les riches, les clercs et le peuple. Tout est c
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d’hui dans nos pays qu’une seule forme de culture
commune
à tout le monde, sans distinction de classes, de pays, de langues : l
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ent, la culture humaniste, née comme une création
commune
de l’Europe, se fragmente en toutes sortes de petits morceaux. On ne
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ctuels divers, mais réunis par des préoccupations
communes
. Ainsi je vois l’activité des foyers de culture s’insérer dans ce gra
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de ces échanges, fruits d’une grande circulation
commune
à toute l’Europe, elle est destinée, sans eux, à mourir à bref délai.
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isations au niveau européen, comme le Conseil des
communes
d’Europe, par exemple ; le Centre européen de la culture peut mettre
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ous voulez faire l’Europe n’ont pas de traditions
communes
ou d’impérieuses raisons de s’unir, comme en avaient ceux qui ont fai
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rne. Ah ! oui ? Vous voulez parler des traditions
communes
des Vaudois et des Bernois, je pense ? Longue tradition en effet… com
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e et l’Allemagne en ont également. Des traditions
communes
? Entre les cantons-villes et les cantons-campagnes : qu’y a-t-il de
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-villes et les cantons-campagnes : qu’y a-t-il de
commun
entre Genève et Glaris ? Et ne parle-t-on pas du « miracle suisse » p
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rope ? Les Européens n’ont-ils pas des traditions
communes
que les Suisses n’avaient pas ? L’Europe est tout de même plus ancien
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ue de s’aimer et de se fondre en une seule patrie
commune
, constate M. Rappard. Eh ! oui. Un grand économiste anglais, Josiah T
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mais trouver un centre d’union et un seul intérêt
commun
» ! Et dans un de ses ouvrages, M. Rappard ne manque pas de relever,
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avec sang-froid, l’inventaire de leur patrimoine
commun
. La civilisation européenne est le produit d’une collaboration sécula
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uns des autres : c’est ce que nous avons tous en
commun
. J’écris en ce moment un livre qui sera intitulé : Le Sens de nos vie
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erres : où trouver dans tout cela un dénominateur
commun
, et que venez-vous parler d’union, quand l’unité foncière a disparu ?
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comme l’Asie, l’Afrique ou l’URSS, les caractères
communs
à tous nos peuples apparaissent aussitôt mille fois plus importants q
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s récentes. Nous voyons tout d’abord une religion
commune
, avec toutes ses subdivisions qui portent un air de famille. (Les tex
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Église : au commencement furent la paroisse et la
commune
, totalement inconnues de l’Orient ; les synodes et le sénat, d’où vie
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ières. Et enfin, et surtout, ce que nous avons de
commun
, c’est une certaine passion de différer, une certaine manière de dire
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À ceux qui les recréent, puisant chacun au fonds
commun
, selon leur génie régional. Voyez l’Hamlet du Piccolo Teatro ; compar
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n’était pas seulement le statu quo, mais l’avenir
commun
de nos peuples. La « conférence asiatique » s’ouvre à Genève à l’heur
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132 articles du traité prévoient des institutions
communes
, des forces armées et un budget commun. Ils prévoient aussi qu’aucun
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itutions communes, des forces armées et un budget
commun
. Ils prévoient aussi qu’aucun État membre ne recrutera plus de forces
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ais jusqu’où s’étend, pratiquement, cette mise en
commun
des ressources militaires des six pays ? S’agit-il de mélanger les so
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e national et le contrôle démocratique de l’Armée
commune
. La procédure prévue pour la mobilisation et l’entrée en campagne est
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ui permettre de la sacrifier aussitôt sur l’autel
commun
— au même titre que les cinq autres pays. Enfin, certains soutiennent
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op lâches : elles ne permettaient pas une défense
commune
efficace. Tout le monde admettait que les cordons douaniers séparant
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ustée de distinguer entre ce qui doit être mis en
commun
pour mieux fonctionner, et ce qui doit rester autonome pour mieux viv
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mille ans la tentative de morceler notre héritage
commun
en « cultures nationales », tentative barbare et d’ailleurs avortée,
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eraction perpétuelle, toutes ses formes nous sont
communes
, qu’il s’agisse de la symphonie ou du concerto, du roman ou du sonnet
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fférents, et visant des buts très divers. Quoi de
commun
, pourrait-on demander, entre nos présidents d’honneur ? Entre Maritai
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es directrices du Saint-Empire et de l’esprit des
communes
. Toutefois ces éléments, séparés en Europe, voisinent dans nos canton
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e la mère. L’apothéose religieuse de la femme est
commune
d’ailleurs à tous les courants mystiques du Moyen Âge indien… Le tant
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es de velours rouge, pour quelque usage ignoré du
commun
. Presque toujours elles étaient vides. En troisième, on retrouvait, c
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mpuissance à adopter en temps utile une politique
commune
expliquent la chute soudaine de l’ancienne Confédération devant les a