1 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
1 ngue, au lieu de mettre en valeur ce qui nous est commun  ; qu’on risque ainsi de nourrir les préjugés, et de forcer, par espri
2 opposition Admettons l’hypothèse d’une origine commune , et d’une famille d’idiomes indo-européens dont le sanscrit serait le
3 ux Aryens. (Elle paraît attestée par les symboles communs aux Dravidiens et aux Crétois : le caducée, l’arbre, la pierre, le se
4 ite hérité de l’ancêtre aryen. Sur l’arrière-fond commun , les différences s’accusent. Elles ne cesseront de s’affirmer dans l’
5 . Ils se fondent sur la négation de nos croyances communes , et de nos institutions. Ils représentent le point d’Orient dans notr
6 ses. La Bible et les Vedas n’ont vraiment rien de commun , et l’usage qu’on en fait n’est pas du tout le même. La foule de Béna
7 de bouddhique, enseigne que la mort étant le sort commun , tuer n’est vraiment grave qu’aux yeux de l’ignorance. Qu’on découpe
2 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
8 e dans une hostilité sans doute ambivalente, mais commune . On me dira qu’il est bien « dangereux » d’écrire cela. Je réponds qu
9 ents légitimes dans l’ancienneté de sa conscience commune . 5. Au sujet de la naissance de l’Europe, vingt théories s’affrontent
3 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
10 aient à leur sujet. Marx et Freud ont beaucoup en commun , et, par-dessus tout, leur succès parmi ceux qu’ils ont « démasqués »
4 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
11 sociétés, les capitaux et leur mode d’emploi ; la commune et les syndicats ; le suffrage universel, les parlements, l’État cent
5 1958, Articles divers (1957-1962). Pourquoi la guerre ? Un échange de lettres prophétique entre Einstein et Freud (avril 1958)
12 ait encore défaut : comment imaginer ce sentiment commun — idéal ou peur collective — qui provoquerait l’union du genre humain
6 1958, Articles divers (1957-1962). Demain l’Europe sans frontières ?[préface] (1958)
13 égage de leurs études, dont le plan fut arrêté en commun , la rédaction strictement individuelle, et la mise au point réciproqu
7 1958, Articles divers (1957-1962). Europe et culture (1958)
14 illeur et pour le pire ; et que cette culture est commune à tous les peuples de l’Europe, puisque leurs nations mêmes en sont n
15 couvriront frères, et verront mieux leur vocation commune . ⁂ Solutions dispersées, besoins communs Qu’a-t-on fait dans ce
16 cation commune. ⁂ Solutions dispersées, besoins communs Qu’a-t-on fait dans ce sens depuis que la grande question de l’uni
17 éenne, convoque deux tables rondes sur l’héritage commun des Européens, crée des bourses, organise des expositions de peinture
18 ie, tout en agissant dans le cadre d’un programme commun . Quelles sont donc les grandes lignes de ce programme ? Laissant de c
19 ans les nouvelles générations la conscience d’une commune appartenance aux formes de pensée et de vie qui définissent notre cul
20 grouper leurs forces en vue de certaines actions communes , et de mettre en pool celles de leurs activités ou de leurs ressource
21 in de s’additionner pour constituer une politique commune , se contredisent souvent et ne convergent jamais, faute d’une institu
22 orces culturelles, et le besoin de représentation commune de ces forces vis-à-vis du reste du monde nous appellent et nous pous
8 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
23 éralisme : la Suisse (1959)k 1. Du pacte des communes à l’alliance des États (xiiie au xixe siècle) On se figure, et l
24 plement la signature d’un pacte entre les trois «  communes  » rurales d’Uri, de Schwyz et d’Unterwald, maîtresses des débouchés n
25 rectement inspirée des pactes en vigueur dans les communes lombardes, devait s’élargir et se compliquer au cours des siècles par
26 que. « Incapables de s’entendre sur aucune mesure commune , les cantons multipliaient les mesures offensives les uns à l’égard d
27 montraient incapables de pratiquer une politique commune à l’égard des grandes nations voisines, mais ils n’hésitaient pas à d
28 chandises passant d’un canton à un autre ou d’une commune à une autre. « Il y en avait partout, sauf aux frontières extérieures
29 )23 qui seules entretenaient l’idéal d’une patrie commune et d’une véritable fédération, la Régénération conquit le pouvoir dan
30 dans l’élite et les masses : « Oui, l’idée d’une commune patrie ne nous est point étrangère… Et quoi qu’en disent les détracte
31 à le combattre et à refuser les évidences du bien commun , au nom des préjugés de la souveraineté. Les cantons catholiques, où
32 le pacte de 1291, dernier reflet du mouvement des communes italiennes, françaises et flamandes, était apparu comme une réaction
33 is Eynard — et trouva dans cette passion un idéal commun , associant toutes les classes et toutes les régions. 24. W. E. Rappa
9 1960, Articles divers (1957-1962). Un péché mortel : la désunion des chrétiens (mars 1960)
34 encore aussi douteuse que l’efficacité d’un front commun fondé sur le respect des valeurs transcendantes : car l’alliance de p
35 t s’unir à l’Auteur de sa foi, ayant dit le credo commun , qui se comprend, quand on le sait, dans toutes les langues. Combien
10 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
36 ne formera qu’un seul corps, la nation unique… La commune de Paris sera le point de réunion, le fanal central de la communauté
37 l’Empire romain d’Occident, par une même religion commune et la même soumission au chef visible de cette dernière. … Plus tard
38 s sera achevée. Elle seule demeure leur propriété commune , après qu’ils ont partagé entre eux tout le reste. Nul État fermé ne
39 ul peuple reconnaissant l’Europe pour leur patrie commune , et d’un bout à l’autre du continent cherchent les mêmes choses et so
40 ices, de gloires, souvent de deuils et de regrets communs  ; dans le présent, du désir de continuer à vivre ensemble. Ce qui con
11 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (juin 1960)
41 ie que l’Europe existe et qu’elle ait une culture commune ne saurait être un Asiatique, un Africain ou un Américain, mais seule
42 oici : primo ; il n’y a pas de culture européenne commune , mais seulement des cultures nationales, car les Allemands et les Fra
43 lité de notre culture et le fait qu’elle nous est commune du Cap Nord au Péloponnèse et de Madrid à Varsovie, je répondrai d’un
44 ersifiants, j’envisagerai maintenant les éléments communs et permanents, les caractères spécifiques de la culture européenne ;
45 ures totalitaires, — lesquelles ont d’ailleurs en commun l’unicité de leur principe de formation ou de réglementation forcée.
46 e affectif le plus généralement européen, le plus commun à tous les hommes de notre continent, et l’on peut voir en lui le plu
12 1960, Articles divers (1957-1962). Allocution de Denis de Rougemont, président du Congrès pour la liberté de la culture, à la séance de clôture de la rencontre de Berlin (extraits) (juin-juillet 1960)
47 t le cas dans trop de nos vies, et retrouvent une commune mesure, un style commun. Et ceci vaut pour l’Occident surtout. Mais d
48 vies, et retrouvent une commune mesure, un style commun . Et ceci vaut pour l’Occident surtout. Mais désormais, c’est à l’éche
13 1960, Articles divers (1957-1962). La liberté et le sens de la vie (8 juillet 1960)
49 t le cas dans trop de nos vies, et retrouvent une commune mesure, un style commun. Et ceci vaut pour l’Occident surtout. Mais d
50 vies, et retrouvent une commune mesure, un style commun . Et ceci vaut pour l’Occident surtout. Mais désormais, c’est à l’éche
14 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (août 1960)
51 ie que l’Europe existe et qu’elle ait une culture commune ne saurait être un Asiatique, un Africain ou un Américain, mais seule
52 ent primo : qu’il n’y a pas de culture européenne commune , mais seulement des cultures nationales, car, disent-ils, les Alleman
53 lité de notre culture et le fait qu’elle nous est commune du Cap Nord au Péloponnèse et de Madrid à Varsovie, je répondrai d’un
54 versifiant, j’envisagerai maintenant les éléments communs et permanents, les caractères spécifiques de la culture européenne ;
55 tures totalitaires — lesquelles ont d’ailleurs en commun l’unicité de leur principe de formation ou de réglementation forcée.
56 e affectif le plus généralement européen, le plus commun à tous les hommes de notre continent, et l’on peut voir en lui le plu
15 1960, Articles divers (1957-1962). Une fusée à trois étages : bref historique de la Fondation (octobre 1960)
57 réation de comités nationaux pour la recherche en commun des fonds, doit fournir les moyens nécessaires à la mise en pratique
16 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
58 unité paradoxale consistant dans la seule volonté commune à tous de refuser l’uniformité. Cependant, cet état de polémique perm
59 e affectif le plus généralement européen, le plus commun à tous les hommes de notre continent, et l’on peut voir en lui le plu
60 rent pour le rassemblement de la population de la commune Spoutnik. Un quart d’heure après les travailleurs étaient alignés. Su
17 1961, Articles divers (1957-1962). Culture et technique (juillet 1961)
61 e, et qu’on nomme les réactionnaires. Leur erreur commune consiste à ne pas voir à quel point la technique résulte de la cultur
62 Nous avons vu que leurs sources créatrices sont communes , qu’elles jaillissent du même fonds et s’alimentent aux mêmes nappes
63 la culture et à l’économie, qui trouvent là leur commune responsabilité. w. « Culture et technique », Caractère et culture d
18 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
64 regard pseudo-scientifique détaillant des objets communs ou des fichiers de cartes perforées : c’est littéralement sans histoi
19 1961, Articles divers (1957-1962). Nos meilleurs esprits (1961)
65 ontre celui qui ferait mine de dépasser la mesure commune et d’être un chef. Un Führer suisse est impensable. Mais dans le doma
66 om nous est revenu, comme importé. Un autre trait commun à nos meilleurs esprits mériterait une étude plus ample, dont je n’in
20 1962, Articles divers (1957-1962). La culture et l’union de l’Europe (avril 1962)
67 tivités culturelles. Nous voyons que le programme commun des instituts, mouvements et associations de culture que notre Fondat
68 dument « nationales » ; de montrer que la culture commune des Européens est beaucoup plus ancienne que notre présent découpage
69 ions, les écoles de pensée, mais fondamentalement commun . En inculquant ces vérités incontestables à la génération présente et
70 e. Que servirait de doter l’Europe d’institutions communes même techniquement parfaites, si les Européens de demain ne croyaient
71 l’organisation du travail en équipe selon un plan commun , d’autre part. Dans le domaine de l’éducation civique, par la double
21 1962, Articles divers (1957-1962). La Ligue du Gothard : premier mouvement de résistance : Journal d’un témoin II (25 juin 1962)
72 venir. Nous ne vous promettons qu’un grand effort commun . Mais il nous rendra fiers d’être hommes, et d’être Suisses. Ce text
22 1962, Articles divers (1957-1962). La commune, base essentielle de notre civilisation (novembre-décembre 1962)
73 La commune , base essentielle de notre civilisation (novembre-décembre 1962)af
74 tures. L’Europe est née de la multiplicité de ses communes , épousant la nature tout en l’utilisant à des fins militaires, agrico
75 um de la Rome républicaine, puis sur la place des communes médiévales. Ombre et soleil changent avec les heures ; côté de l’égli
76 les doctrines en vogue. La mairie, symbole de la commune , qui est dans le cadre concret du civisme, a survécu tant bien que ma
77 sant à la mise en valeur, par l’intermédiaire des communes , des régions défavorisées du territoire. Même dans les nations les pl
78 plus nettement. Au plan européen, le Conseil des communes d’Europe, l’Union des villes et des pouvoirs locaux, apparus depuis l
79 renouveau de l’autonomie municipale. af. « La commune , base essentielle de notre civilisation », Communes d’Europe, Paris,
80 ommune, base essentielle de notre civilisation », Communes d’Europe, Paris, n° 29, novembre-décembre 1962, p. 5 et 20.
23 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
81 théocratie à Genève, comme le répète l’ignorance commune , Calvin a créé le modèle d’une église dressée face à l’État et soigne
24 1962, Articles divers (1957-1962). Le règne de Victoria (1962)
82 ée, avec Ortega y Gasset, et nous parlions d’amis communs , venus de partout, qu’une sorte de prémonition avait rassemblés ces j
83 life and twice as natural comme le dit notre ami commun Lewis Carroll. La grandeur simple, la simplicité grande, sont les loi