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es en passant par le forum des Romains et par les
communes
médiévales, jusqu’à nos jours. Enfin, la crise monétaire mondiale est
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France, etc. Toutes ces régions ont des problèmes
communs
, les mêmes des deux côtés de la frontière, qui ne peuvent être résolu
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économiques, de transport, d’énergie, d’histoire
commune
, mais pas nécessairement de langue commune. Pourquoi dites-vous que l
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stoire commune, mais pas nécessairement de langue
commune
. Pourquoi dites-vous que le phénomène des régions ethniques est peut-
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ntrer dans ce « lit de Procuste » d’une frontière
commune
qui serait un mini-État-nation. Ce qu’il nous faut éviter à tout prix
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vique, dans leurs régions, leurs provinces, leurs
communes
. Bien plus, les jacobins ont commencé par écraser toutes les communau
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« le coup électrique de la Raison » donné par la
commune
de Paris se transmette instantanément jusqu’aux frontières extrêmes d
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l s’y oppose. Il a supprimé tous les pouvoirs des
communes
. Les communes devraient-elles reprendre le pouvoir ? Je ne suis pas d
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Il a supprimé tous les pouvoirs des communes. Les
communes
devraient-elles reprendre le pouvoir ? Je ne suis pas du tout d’accor
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iorer, et jouer un rôle d’aide technique. Quoi de
commun
avec ITT ou les pétroliers ? Unilever, elle, me paraît entre les deux
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les qu’on y arrivera le mieux. La région et la
commune
Pourtant on s’aperçoit qu’actuellement, et depuis un certain nombr
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deux arbres… Et les racines, pour vous, c’est la
commune
? Il faut donc commencer par la commune ? Oui ; peut-être par plus pe
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c’est la commune ? Il faut donc commencer par la
commune
? Oui ; peut-être par plus petit que la commune. Ce que l’on appelle
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a commune ? Oui ; peut-être par plus petit que la
commune
. Ce que l’on appelle des « communes » par exemple en Amérique ; des c
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s petit que la commune. Ce que l’on appelle des «
communes
» par exemple en Amérique ; des colonies, n’importe quoi, des associa
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y a plus qu’un homme sur trois qui habite dans sa
commune
d’origine. Presque tous sont déplacés. Prenez la ville de Genève, vou
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e solitude. Est-ce que la région, reposant sur la
commune
, reposant sur des groupes de quartiers, renforcés par des association
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s. Et ces villes naturellement n’étaient plus des
communes
. Il n’y avait plus l’agora sur laquelle les gens pouvaient se réunir
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ssaire, mais on peut y recréer des quartiers, des
communes
, au prix de certaines destructions. On peut recréer des places qui ne
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dait à la révolution communaliste, à l’esprit des
communes
. Les villes du xixe siècle sont des villes en étoile avec de très la
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au politique, au niveau de l’administration de la
commune
. J’appelle « politique » l’aménagement des rapports humains, dans une
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égion, doit être la politique d’autogestion de la
commune
— ce qui n’existe pas non plus (pas de ressources financières propres
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urtout à l’autogestion des groupes et des petites
communes
et ensuite à l’autogestion des régions. La formule des fédérations es
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germaniques de fidélité, de communauté, de biens
communs
, les valeurs celtes d’aventure initiatique courue par le chevalier er
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de la Jeune droite, Thierry Maulnier. Ce « front
commun
» ne durera pas au-delà de ma « présentation des jeunes groupes révol
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a reconnu les éléments fondamentaux d’une « cause
commune
» dans sa double opposition aux fascismes montants et au capitalisme
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ier, d’inventeur d’idées et d’animateur d’actions
communes
qu’a joué dans ces années cruciales Alexandre Marc. ⁂ Que nous nous s
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re. Par la participation de chacun aux nécessités
communes
, l’ordre nouveau supprimera les dernières traces de prolétarisation »
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vues qui sont de direction communiste », à savoir
commune
, Europe, et la NRF …5 Voilà qui eût amusé Paulhan. (Mais après tout,
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caux et sentimentaux ». C’est à l’échelle de la
commune
que le sentiment patriotique se manifeste le plus spontanément… On pe
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retonne, catalane. Il n’en reste pas moins que la
commune
est le lieu privilégié en lequel se trouvent réunis tous les facteurs
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-dire de la réalité physico-affective, de l’idéal
commun
, et du service public que devrait demeurer l’état, a tout faussé. La
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nséquente des erreurs contemporaines : c’est leur
commun
dénominateur. L’URSS du camarade Staline et la France de M. Lebrun, l
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erre, ou le cœur d’un être. Ni l’état, ni même la
commune
ne pourront rien posséder en tant que tels ; mais ils seront chargés
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ction administrative des frontières ; limites des
communes
…) ; elle se justifie ensuite en délimitant une base stable et solide
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», inexistants au xiiie siècle, mais entre trois
communes
(Gemeinden, Stätten, Orte, universitates dans le texte original) qui
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Suisse est née de la fédération tout empirique de
communes
forestières, de villes d’empire et de cités-États (comme Berne, Bâle,
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descriptible en termes de politologie moderne de
communes
, de régions et de petits États, de démocraties directes et d’oligarch
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directes et d’oligarchies, qui n’avaient guère en
commun
que l’essentiel : la volonté de rester libres à leur manière — et seu
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48. La formule créatrice de la Suisse a été : des
communes
à la fédération, et non pas : des États souverains à une alliance con
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es tâches à accomplir. (Les chemins vicinaux à la
commune
, les routes au canton, les autoroutes à la Confédération…) Or c’est e
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de nos États européens et demandaient la mise en
commun
de leurs ressources. Cet exemple mérite de demeurer classique, tant e
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ensible aux réflexes stato-nationalistes qui sont
communs
à ses voisins.) Pour tout dire en une phrase qui rappelle la thèse de
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e suisse, dans sa santé primitive — fondé sur les
communes
et non sur les cantons, sur des régions et non sur des États —, ne po
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soit capable simultanément de gérer les intérêts
communs
à l’échelle continentale et d’harmoniser les intérêts particuliers à
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’expriment et la juste répartition des ressources
communes
, les responsables des agences européennes se réuniront régulièrement
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de, Oxford, le Paris de la Sorbonne qui était une
commune
libre ; la Nuremberg de Dürer ; les villes libres de la Hanse et la R
48
a politique des États vivent dans des mondes sans
commune
mesure. Mais si la politique, l’économie, les langues n’ont de toute
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langues n’ont de toute évidence aucune frontière
commune
— ce serait miracle, et ce miracle, sauf peut-être en Islande, ne s’e
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se notre vie quotidienne se passe à l’échelon des
communes
ou des régions, dans une « mesure » où l’homme peut faire entendre sa
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ens puissent enfin prendre en main leurs affaires
communes
— qu’il s’agisse de réalités culturelles ou énergétiques, écologiques
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niveau le plus terre-à-terre, à partir de tâches
communes
et sans exiger d’abord une révolution complète : les gouvernements ne
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gue, c’est difficile de dresser un plan d’actions
communes
à mener par les gens du pays de Gex, de Genève, des deux Savoie, en p
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région. Il y a là une tâche énorme à accomplir en
commun
. La nappe phréatique, aussi, est commune aux Genevois, aux Gessiens
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mplir en commun. La nappe phréatique, aussi, est
commune
aux Genevois, aux Gessiens et aux Savoyards. Elle est très menacée, d
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a les problèmes de l’aéroport qui sont évidemment
communs
aux deux côtés de la frontière. Il y a le problème des travailleurs f
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rée, d’un lien de participation réelle, de luttes
communes
, d’amitiés et de voisinage retrouvé, qui me motive, quand je lutte po
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de l’enseignement supérieur, du vieux duel de la
commune
et de l’État, de la montée d’un « matérialisme jouisseur, calculateur
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umérique, une croissance qui n’avait donc rien de
commun
, sauf le nom, avec la croissance vivante au sens authentique du terme
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éralisme, celui qui a fait la Suisse à partir des
communes
médiévales, forestières, agricoles ou urbaines. Le fédéralisme n’est
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ques qui peuvent s’en charger, d’autre part. À la
commune
, les chemins vicinaux, au canton les routes intercommunales, à la Con
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lustre de toute son histoire : la fédération, les
communes
, le vrai civisme, le refus du recours à la guerre ? Face aux défis de
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mposé de manière à pouvoir traiter dans l’intérêt
commun
les problèmes qui se posent au niveau de la Confédération. La difficu
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Le fédéralisme suisse s’est formé sur la base des
communes
d’Uri, de Nidwald et de Schwyz. On ne parlait pas de cantons, mais bi
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chwyz. On ne parlait pas de cantons, mais bien de
communes
(Gemeinde en allemand, universitas en latin, c’est-à-dire l’ensemble
66
e reste de l’Europe. Elle est née de l’esprit des
communes
, au moment où ce grand mouvement libertaire, au nord de l’Italie et e
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ans de l’autonomie à la base, cette autonomie des
communes
qui devient, à l’échelle européenne, l’autonomie des régions, dans le
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pas très bien marché — le mouvement créateur des
communes
primitives autour du Gothard. Certes, entre le xiiie et le xxe sièc
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arallèle frappant entre la situation de nos trois
communes
primitives et celle des communes qui essaient aujourd’hui de se défen
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ion de nos trois communes primitives et celle des
communes
qui essaient aujourd’hui de se défendre contre l’implantation de cent
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e est source d’amitié, comme une participation en
commun
à de grands mystères (hiéron mégalôn). » Or un contemporain de Plutar
72
si des premiers qui aient pris conscience de leur
commune
appartenance au grand ensemble culturel qu’est en réalité l’Europe, e
73
cette réalité de demain, la région, héritière des
communes
médiévales, la région élément organique d’un monde qui ne connaîtra p
74
cueillir la musique d’hier et d’aujourd’hui, bien
commun
et œuvre commune de la culture européenne. « L’art est l’état d’espri
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que d’hier et d’aujourd’hui, bien commun et œuvre
commune
de la culture européenne. « L’art est l’état d’esprit d’un jour de fê
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rne. Et la liberté des citoyens, des groupes, des
communes
, des régions, qui entendent tout simplement et autant qu’ils le peuve
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e, qu’on le veuille ou non, des groupuscules, des
communes
, des régions à la fois autonomes par volonté civique et incapables pa
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trois protestants — sentiront qu’ils possèdent en
commun
, malgré leurs origines hétéroclites, une fois confrontés au groupe ma
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ion helvétique, et ils ne doivent leur « esprit »
commun
qu’à la dominante protestante (sensible jusque dans les écrits d’aute
80
s entre Genève et Paris et de la rétrocession aux
communes
françaises d’une large part des impôts versés en Suisse par les front
81
ié au cours des siècles une langue et une culture
commune
? L’État-nation que je dénonce a 180 ans d’âge. Il a détruit, lenteme
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de l’automobile, et de Hitler. À priori, rien de
commun
. Pourtant… Le premier, avec son obstination géniale, impose à notre c
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istance à la terreur d’Étatat. Même si le but est
commun
, chacun doit inventer son chemin, car, si l’on prend les routes natio
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de la passion dans l’ordre de l’amour. Ils ont en
commun
le mépris de l’autre et la volonté de puissance. Certes, ils ont affa
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la cité grecque. Elle s’est formée sur la base de
communes
forestièresbe, d’une coopérative, si vous voulez, et elle s’est peu à
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me d’une composition de petites unités mettant en
commun
certaines forces ; juste assez pour maintenir chacune des unités diff
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uis une conscience régionale dans leur résistance
commune
aux centrales nucléaires, quand ils se sont aperçus qu’on allait en c
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aussi aberrant que l’on voudra. C’était un idéal
commun
, et terriblement effectif. Alors, si un phénomène semblable se reprod
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mmes y parviendront. Le moyen ? Refaire vivre les
communes
, les municipalités, les régions, car elles seules sont à la mesure de
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pas notre guerre. Vous discerniez donc des points
communs
entre des pays totalitaires et des démocraties ? Tous recherchent la
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emiers personnalistes, de la revue Esprit), de la
commune
et vont de la région à l’Europe. Tout le système de Rougemont est fon
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ltiplication des jargons et l’oubli des finalités
communes
, qui font échouer l’entreprise dans l’anarchie et la dispersion. Les
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pposer sur les moyens et s’unir sur des finalités
communes
… Ce n’est pas se trouver juxtaposés, mais vivre en relations dans une
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sés, mais vivre en relations dans une orientation
commune
. Cette finalité implique des conditions, dicte certaines « mesures ».
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ascenseurs, etc. 5. Multiplier les transports en
commun
gratuits, et fermer le centre aux autos. 6. Poser comme principe de m
96
’expression finale d’une union économique ou plan
commun
de production. La franchise des échanges devra être obtenue par des a
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ction de l’union entière. On demande « la mise en
commun
des ressources d’énergie des marées et de l’énergie atomique, le règl
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sta — par la voix d’André Philip — sur la mise en
commun
des ressources minières du continent, déjà préconisée à Montreux, et
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difficultés de chaque pays comme des difficultés
communes
à résoudre en commun »29. Ce n’était pas une réforme, mais une révolu
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pays comme des difficultés communes à résoudre en
commun
»29. Ce n’était pas une réforme, mais une révolution. On peut penser
101
. Les garantir par des institutions et des règles
communes
. 3. Organiser l’économie d’abord, sur un plan supranational, et la po
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qu’il faut étudier la création d’une organisation
commune
à laquelle seront attribués la responsabilité et les moyens d’assurer
103
’en trouve pas qui expriment mieux notre attitude
commune
d’alors. ⁂ Après les années de Hic et Nunc (1932-1939), nos voies p
104
’attente ardente et dans cette anxieuse espérance
commune
à tous les « hérétiques » malgré eux : ceux qui ont un jour compris q
105
on vers le bas et vers le haut : vers le bas, aux
communes
, aux régions, et vers le haut, à la fédération continentale. Cette di